Le jour où j’ai rencontré pour la première fois les gens de la sainteté. J’étais à Saint Louis, et j’y ai rencontré le révérend Robert Daugherty. Il faisait une réunion sous la tente. J’y suis allé ce soir-là, sa petite fille avait été guérie peu de temps avant. Son témoignage a paru, là-bas.
Et il m’a amené là où il y avait cette réunion. Il est monté sur l’estrade, et il s’est mis à prêcher, c’était la première fois, ou presque, que j’entendais prêcher un prédicateur pentecôtiste. Ce garçon prêchait, jusqu’à ce que, les genoux soudés, il descende jusqu’au sol, puis il reprenait son souffle. On pouvait l’entendre prêcher à deux pâtés de maisons de là. Il se relevait et continuait à prêcher.
Quelqu’un m’a dit : “Êtes-vous prédicateur?”
J’ai dit : “Non, monsieur.” Non, non. Ma lenteur de baptiste ne me permet pas d’élaborer les idées avec une telle rapidité. Voilà. Vraiment, je… Là je n’étais plus un prédicateur, après avoir entendu ça. Alors, à partir de ce jour-là, en présence des gens du Plein Évangile, je me gardais bien de dire que j’étais prédicateur. J’ai laissé tomber. J’ai dit : “Non, je prie pour les malades.” Et j’ai laissé tomber.
Mais je prends réellement plaisir à venir comme ceci, aujourd’hui, essayer de lire quelque chose dans la Parole et l’expliquer de mon mieux; en effet, tout… Je crois qu’Elle est la vérité. Chaque Parole de Dieu est la vérité.