14 Dès qu'Abram eut appris que son frère avait été fait prisonnier, il arma trois cent dix-huit de ses plus braves serviteurs, nés dans sa maison, et il poursuivit les rois jusqu'à Dan.
15 Il divisa sa troupe, pour les attaquer de nuit, lui et ses serviteurs; il les battit, et les poursuivit jusqu'à Choba, qui est à la gauche de Damas.
16 Il ramena toutes les richesses; il ramena aussi Lot, son frère, avec ses biens, ainsi que les femmes et le peuple.
17 Après qu'Abram fut revenu vainqueur de Kedorlaomer et des rois qui étaient avec lui, le roi de Sodome sortit à sa rencontre dans la vallée de Schavé, qui est la vallée du roi.
18 Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin: il était sacrificateur du Dieu Très Haut.
26 Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le donna aux disciples, en disant : Prenez, mangez, ceci est mon corps.
27 Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, en disant : Buvez-en tous;
28 Car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés.
29 Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce fruit de la vigne, jusqu'au jour où j'en boirai du nouveau avec vous dans le royaume de mon Père.
30 Après avoir chanté les cantiques, ils se rendirent à la montagne des oliviers.
23 Car j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c'est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain,
24 Et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi.
25 De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.
26 Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne.
27 C'est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.
28 Que chacun donc s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange du pain et boive de la coupe;
29 Car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même.
30 C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et qu'un grand nombre sont morts.
31 Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
32 Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
33 Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres.
34 Si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous. Je réglerai les autres choses quand je serai arrivé.
51 Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.
52 Là-dessus, les Juifs disputaient entre eux, disant : Comment peut-il nous donner sa chair à manger?
53 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes.
54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.
55 Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage.
56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui.
57 Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.
58 C'est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : celui qui mange ce pain vivra éternellement.
1 Avant la fête de Pâque, Jésus, sachant que son heure était venue de passer de ce monde au Père, et ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, mit le comble à son amour pour eux.
2 Pendant le souper, lorsque le diable avait déjà inspiré au cœur de Judas Iscariot, fils de Simon, le dessein de le livrer,
3 Jésus, qui savait que le Père avait remis toutes choses entre ses mains, qu'il était venu de Dieu, et qu'il s'en allait à Dieu,
4 Se leva de table, ôta ses vêtements, et prit un linge, dont il se ceignit.
5 Ensuite il versa de l'eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint.
6 Il vint donc à Simon Pierre; et Pierre lui dit : Toi, Seigneur, tu me laves les pieds!
7 Jésus lui répondit : Ce que je fais, tu ne le comprends pas maintenant, mais tu le comprendras bientôt.
8 Pierre lui dit : Non, jamais tu ne me laveras les pieds. Jésus lui répondit : Si je ne te lave, tu n’auras point de part avec moi.
9 Simon Pierre lui dit : Seigneur, non seulement les pieds, mais encore les mains et la tête.
10 Jésus lui dit : Celui qui est lavé n'a besoin que de se laver les pieds pour être entièrement pur; et vous êtes purs, mais non pas tous.
11 Car il connaissait celui qui le livrait; c'est pourquoi il dit : Vous n'êtes pas tous purs.
12 Après qu'il leur eut lavé les pieds, et qu'il eut pris ses vêtements, il se remit à table, et leur dit : Comprenez-vous ce que je vous ai fait?
13 Vous m'appelez Maître et Seigneur; et vous dites bien, car je le suis.
14 Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres;
15 Car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait.
16 En vérité, en vérité, je vous le dis, le serviteur n'est pas plus grand que son seigneur, ni l'apôtre plus grand que celui qui l'a envoyé.
17 Si vous savez ces choses, vous êtes heureux, pourvu que vous les pratiquiez.
42 Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières.
43 La crainte s'emparait de chacun, et il se faisait beaucoup de prodiges et de miracles par les apôtres.
44 Tous ceux qui croyaient étaient dans le même lieu, et ils avaient tout en commun.
45 Ils vendaient leurs propriétés et leurs biens, et ils en partageaient le produit entre tous, selon les besoins de chacun.
46 Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur,
47 Louant Dieu, et trouvant grâce auprès de tout le peuple. Et le Seigneur ajoutait chaque jour à l'Église ceux qui étaient sauvés.
9 Qu'une veuve, pour être inscrite sur le rôle, n'ait pas moins de soixante ans, qu'elle ait été femme d'un seul mari,
10 Qu'elle soit recommandable par de bonnes œuvres, ayant élevé des enfants, exercé l'hospitalité, lavé les pieds des saints, secouru les malheureux, pratiqué toute espèce de bonne œuvre.
Qu’est-ce que la communion?
Et maintenant, quand vous recevez ce pain, souvenez-vous que ce pain représente l’Agneau. Il y a de nombreuses années, quand l’agneau d’Israël avait été rôti au feu, et qu’on l’avait mangé avec des herbes amères, le peuple avait été fortifié; leurs chaussures ne s’étaient jamais usées, et leurs vêtements ne s’étaient jamais effilochés, tout au long du voyage jusqu’à ce qu’ils arrivent au pays promis. Que Dieu nous garde en bonne santé, heureux, à Son service jusqu’à ce que nous arrivions au Pays promis qu’Il nous a donné.
62-1007 La clé de la Porte
La communion que nous nous apprêtons à prendre a fait l’objet de plus de contestation que toute autre doctrine de la Bible.
62-1007 La clé de la Porte
Vous voyez, il y a trois choses que nous devons–trois choses que nous devons accomplir comme symboles : le souper du Seigneur, le lavement des pieds, le baptême d’eau.
Maintenant, nous avons seulement trois ordonnances naturelles Divines qui nous ont été laissées : l’une d’elles, c’est–c’est la communion; le lavement des pieds; le baptême d’eau. Ce sont les seules trois choses. C’est la perfection, dans ces trois-là, voyez-vous. Ce sont les seules trois ordonnances que nous avons.
This represents the body of the Lord Jesus, the Bread. And as the song was just sang, "My Faith Looks up to Thee." There's only three orders that the Lord had give us, and that was baptism, taking of the bread and wine, and feet washing; is the orders.
And this represents the broken body of Christ. My prayer is that every person that partakes of this tonight, that will receive the blessing of the Holy Spirit to come upon them. And that they are sick, may the God of heaven, Who instituted this in the first form down in Egypt by taking the--the--the--the bitter herbs and wine... I trust that God will heal you, and in your entire journey there'll be no sickness among you. May the God of heaven look to us now as we offer this to Him.
Maintenant, juste un moment encore. Maintenant, dans l’Ancien Testament, alors que le sacrifice avait été établi comme–comme précepte, ou comme ordonnance. Et il en est de même pour le baptême d’eau, c’est une ordonnance; de même, le lavement des pieds est une ordonnance; de même, le souper du Seigneur est une ordonnance. “Heureux celui qui pratique toutes Ses ordonnances, qui observe tous Ses préceptes, tous Ses commandements, afin d’avoir droit d’entrer dans l’Arbre de la Vie.”
Savez-vous qu’il y a la guérison Divine dans la communion? Quand les Israélites, en type, ont eu pris la communion, ils ont marché pendant quarante ans. Et quand ils sont sortis du désert, il n’y en avait pas un seul d’entre eux qui était faible, sur deux millions et demi de personnes. Il y a la puissance de guérison dans la communion.
Le verset qui dit : “Il est vraiment une Nourriture et vraiment un Breuvage.” J’ai fait une petite marque ici, au verset 57 : “Vraiment une Nourriture et vraiment un Breuvage.” Écoutez ce qu’Il dit ici.
Et comme le Père qui est vivant m’a envoyé, et que je vis par Mon Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.
Autrement dit : “Le Père M’a envoyé, et Je vis par Lui. Et tout homme qui vient à Christ doit vivre par Christ.” Oh! la la! voilà, c’est ça la communion. C’est ça la vraie communion que vous trouvez, c’est quand vous vivez par Christ.
Or, nos corps ont besoin chaque jour de nourriture et de boisson, pour survivre, notre corps physique. Si nous ne mangeons pas chaque jour, et que nous ne buvons pas, alors notre corps s’affaiblit. Il y a quelque chose en nous qui fait qu’il nous faut prendre de la nourriture. La nourriture pour un jour ne durera pas pour le lendemain. Il vous faut prendre de la nourriture chaque jour, pour fortifier votre être mortel. Vous pouvez continuer à vivre, mais vous êtes plus faible. Le deuxième jour, vous êtes encore plus faible. Et le troisième jour, vous devenez terriblement faible.
Eh bien, souvent c’est ce que nous faisons dans le domaine spirituel. Vous voyez, chaque jour nous devons communier avec Christ. Nous devons Lui parler chaque jour. Nous devons tout mettre en ordre avec Lui chaque jour. Paul a dit : “Je meurs chaque jour.” Voyez? “Chaque jour, je meurs; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi.” Alors, si votre corps physique a besoin de nourriture chaque jour et de boisson chaque jour, pour survivre, votre corps spirituel a besoin de Nourriture spirituelle et de communion avec le Seigneur chaque jour, pour survivre. Oui. Jésus a dit : “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.” Donc, chaque jour nous devons étudier la Bible. Certaines personnes ne L’étudient pas du tout. Certaines La prennent deux ou trois fois par année. Mais un croyant, un vrai de vrai, qui est vraiment affermi spirituellement, il lit sa Bible chaque jour, et il parle au Seigneur. C’est vrai. Pour lui, c’est indispensable. “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.”
They hated Him. Why, they had nothing to do with this man called Jesus. He tore up their churches and everything else. Why, they despised Him.
And how could this Pharisee ever ask Him down to his house for dinner? We usually invite people who we love to eat with us, you know, like somebody that you--that you appreciate. There's something about eating with each other. That's the reason we have the Lord's Supper. It's to fellowship around the Lord's Supper, what makes it so great to us.
57-0310A Washing Jesus Feet
Now, the communion is not err. It's not given for the purpose that many people think it is. It's taught--taught by certain denomination of church, that communion is called the last rites, that it pertains to salvation. Communion does not pertain to salvation. Communion does not give you salvation. Whether you take it in your death, or--or what, it does not have nothing to do with your salvation.
It is a commemoration. Jesus said in the Gospel; He said, "This do in remembrance of Me." Not it leaning or pointing to salvation, but it's in commemoration of a finished work that's been done in you by the Holy Spirit. It's a commemoration.
Now, there's many that take the communion, is not saved. Many eat the paschal lamb and perished in the wilderness. And many take the communion today that will never see God.
But you cannot be a partaker of His salvation and not see Him, because salvation is a gift of God. And communion is commemoration of the great all-sufficient Sacrifice that was made for that salvation. It's to let people see that we believe in the death, burial, and resurrection of the Lord Jesus Christ. It represents a finished work.
Donc, ce que nous voyons, à propos de cette communion, c’est qu’il y avait un–un lavage des pieds, entre autres, qui était aussi associé à ça : de se laver les pieds, comme symbole de la pureté du Saint-Esprit.
Bon, ensuite, il faut qu’il y ait une similitude de sentiments entre vous. Si vous avez des rapports tendus avec votre–votre hôte, alors vous–vous ne pouvez pas communier. Non, vous–vous ne le pouvez pas, parce que vous êtes en désaccord avec lui. Mais si vous êtes en accord, alors vous pouvez communier. Donc c’est la même chose quand nous venons à la table du Seigneur, nous devons être en accord avec Sa Parole. Voyez? Nous devons être nés de nouveau, avec l’Esprit de Dieu en nous, qui dit “amen” à chaque Parole qu’Il a écrite; alors nous pouvons communier avec Lui.
Nous avons ceci de Dieu : si notre cœur ne nous condamne pas, alors nous trouvons grâce devant Dieu. Nous savons que nous obtenons ce que nous avons demandé et réclamé, parce que notre cœur ne nous condamne pas. Or, si Dieu nous dit qu’il faut que nous naissions de nouveau, et que nous n’avons pas reçu la nouvelle naissance, alors nous nous sentirons un peu drôle d’aller Lui demander quelque chose, voyez-vous, parce que nous savons que nous n’avons pas rempli Ses conditions. Alors, tout ce que nous pouvons faire, c’est la prière d’un pécheur. Mais nous parlons avec Lui une fois que nous avons établi des rapports fraternels avec Lui, c’est ce qui produit la communion.
Maintenant, j’aimerais prendre quelques instants pour expliquer ceci, ce moyen de communion. Bon, nous prenons ce que nous, nous appelons la communion, c’est-à-dire le pain et le vin. Or ça, ç’a été tellement déformé qu’il n’est même pas bon d’en parler. Oh, comme ç’a été déformé au cours des années! En fait, ça, ce n’est pas une communion, c’est simplement de garder un commandement. Voyez? Bon, la raison pour laquelle nous l’appelons communion, c’est que ça vient de l’association que font les catholiques, qui déclarent que c’est “la sainte Eucharistie, qui est littéralement le corps du Seigneur Jésus”. Mais ce n’est pas le corps du Seigneur Jésus! C’est seulement en commémoration de Son corps.
Et peu m’importe le nombre de prêtres ou de prédicateurs, ou quelle que soit la personne qui bénit ça, c’est toujours du pain et du vin. Il n’y a aucun prêtre, et pourtant c’est ce qu’ils nous disent, que “Dieu est obligé d’écouter le prêtre quand il transforme la communion,” ce qu’eux appellent la communion, “l’Eucharistie, en corps littéral du Seigneur Jésus. Alors le croyant prend ça, et c’est ça qui est la communion.” C’est faux! Communier, c’est “parler à, communier avec, quelque chose à quoi vous pouvez parler et qui vous répond”. C’est ça communier. Une hostie ne peut pas répondre. Donc, en réalité, la vraie communion, c’est quand le Saint-Esprit répond. Quand vous Lui demandez, et qu’ensuite Il répond, c’est ça la communion correcte. Ceci, nous le prenons en commémoration de Sa crucifixion et de Sa résurrection, mais ce n’est pas une communion. C’est comme ça que nous l’appelons, mais ce n’en est pas une. Ça vient de l’église catholique, qui prend cette hostie, comme nous avons examiné la mise en place de ces choses, l’autre jour, en traitant du Paganisme contre le Christianisme.
Ce n’est pas le corps littéral de Jésus-Christ
Il y avait un groupe qu’on appelait des “cannibales”, c’étaient les Chrétiens. On disait : “Un homme a été tué par Ponce Pilate, et les disciples sont venus dérober Son corps. Ils l’ont caché, et tous les–tous les dimanches ils vont en manger une partie.” Ils prenaient la communion, vous voyez. Ils... Ils prenaient Son corps, vous voyez. Ils disaient qu’ils prenaient le corps du Seigneur, la communion. Et eux, ils ne savaient pas ce que c’était, alors il a dit que “c’étaient des cannibales”. Il a dit : “Ils vont manger, le premier jour de la semaine, ils se réunissent et ils mangent le corps de cet homme.”
Et la seule manière de savoir s’il s’agissait de ceux qui observaient la loi et qui niaient farouchement la résurrection, ou bien s’il s’agissait des Chrétiens, qui croyaient à la résurrection, c’est que l’un allait à l’église le samedi, et l’autre allait à l’église le dimanche, et c’était un signe qui les distinguait.
C’est assez fracassant, ça, n’est-ce pas? Bien. J’espère que ce sera reçu. C’est le Saint-Esprit qui est...
Bon, est-ce que tu as quelque chose, là, frère? Tu veux... Est-ce que tu veux–tu veux t’avancer et y répondre? Voyons un peu, ici. Oh, oui.
Questions et réponses sur la Genèse, 53-0729
Maintenant, pensez au nombre de luthériens, de protestants, au nombre de catholiques, ce matin, qui ont été confirmés, comme ils disent, qui ont pris leur première communion. Et ils appellent ça “la Sainte Eucharistie”, ce qui veut dire, c’est un mot latin, “le Saint-Esprit”. Avez-vous déjà vu un catholique passer près d’une église et faire ce geste sur lui? [Frère Branham illustre.—N.D.É.] Pourquoi? “C’est dieu dans cette église.” Qu’est-ce que dieu? “Ce petit morceau de pain.” Ce petit morceau de pain rond, fait pour ressembler au dieu-soleil qu’ils adorent, posé là sur l’autel où les souris et les cafards s’amassent pendant la nuit. Ça, ce n’est pas mon Dieu. Je vous le dis tout de suite. “La première communion, être confirmé dans l’église.” Ridicule.
Mais, c’est ce qu’ils ont fait. C’est ce que le jélek a fait. Il a enlevé l’Esprit et leur a donné un morceau de pain, du pain fait par un prêtre, ou une religieuse, ou quelqu’un d’autre. C’est ce qu’ils ont fait. C’est tout à fait ça. Allez vous renseigner maintenant. Allez regarder dans l’histoire et voyez si ce n’est pas juste. Et vous allez avaler ça? Pas seulement les catholiques, mais, vous les protestants, beaucoup d’entre vous, la même chose. Bien. Voilà ce qu’ils ont fait. Bien.
62-422 La restauration de l'Arbre-Épouse
“Il est dit que cette petite hostie ronde est le corps littéral de Christ.” Or, c’est ce que l’église catholique croit. Avez-vous déjà remarqué que, lorsqu’ils passent près d’une église, ils font le signe de la croix, ils soulèvent leur chapeau et ainsi de suite? Ce n’est pas à cause de l’église, c’est à cause de l’hostie qu’il y a à l’intérieur, “ce corps, que le prêtre a transformé, d’une hostie en corps littéral de Christ”, alors que ça peut être emporté par des rats et des souris. Eh bien, vous ne, vous ne penseriez quand même pas, en réfléchissant en être civilisé, qu’un morceau de pain puisse être le corps du Seigneur Jésus! C’est impossible.
La communion, c’est “parler, et qu’on vous réponde, ce à quoi vous parlez”. Le mot communier signifie justement “parler à” ou “être associé à quelque chose qui vous répond”. Et Dieu vous répond, il y a communion. C’est toujours du pain et du vin, ce que nous appelons la communion.
Or, Jésus a dit ici, comme je le lis : “Mon corps est une nourriture, et un breuvage, Mon Sang; Mon corps et Mon Sang sont une nourriture et un breuvage.”
Maintenant nous voulons penser à Jésus et L’associer, associer ce qu’Il était. Son corps, qu’est-ce que c’est? Le corps de Christ, qu’est-ce que c’est? C’est le corps des croyants qui sont associés avec Lui dans le Saint-Esprit. Pas une idole, pas un morceau de pain, mais un Esprit qui est dans le cœur du croyant; et ils se sont associés, ce qui fait que l’homme et Dieu peuvent se parler, des fils et des filles de Dieu. L’effusion du Sang a amené la rémission du péché à l’homme mortel, et cet homme, cette femme, ce garçon ou cette fille, qui a des rapports fraternels avec Christ, communie avec Lui, le corps.
102 Maintenant, si Baal est un dieu qui a une forme ronde… (Là, saisissez ceci, mot à mot, et vous comprendrez le reste, la fin de ce Message.) …ce dieu était un dieu qui avait une forme ronde, le dieu-soleil, ils avaient conçu de très grandes plaques d’airain qui réfléchissaient le soleil, et cela avait l’aspect du feu. Aussi, le pain dont parle Jérémie ici, il est dit qu’ils…que les femmes préparaient ces gâteaux à Baal, et qu’ils avaient une forme ronde comme le soleil. Eh bien, par la suite, on les déposait sur l’autel, l’autel païen, pour la communion, et on leur donnait une forme ronde comme le soleil ou comme la lune, parce qu’il s’agissait du dieu-soleil ou du dieu-lune.
61-1217, Le Christianisme contre l'idolâtrie
Bon, les prêtres romains, alors ils ont adopté ceci : pour prendre et préparer la communion, le premier point qui a été apporté, c’est la préparation de la communion : au lieu d’un morceau brisé comme le Corps de Christ, ils allaient le faire d’une forme ronde comme le soleil ou comme la lune. Et jusqu’à ce jour, ça a toujours une forme ronde! Certainement. C’est encore une hostie ronde, et non un morceau brisé de Son Corps. C’est rond et lisse. Aujourd’hui, les prêtres romains déposent cette hostie ronde sur l’autel et appellent cela : “Le Corps littéral de Christ.”
Maintenant, il y a un grand désaccord entre certains de ces grands épiscopaliens, et tout, et l’église catholique, et c’est sur ce sujet : à savoir si c’est le Corps littéral ou si cela représente le Corps. L’église catholique romaine dit que “c’est le Corps littéral”, parce que c’était le corps littéral de Baal (le dieu-soleil) qui se reflétait sur ce morceau d’airain, et ils lui ont donné une forme ronde. On ne trouve du pain rond sur la table d’aucun Chrétien!
61-1217, Le Christianisme contre l'idolâtrie
L’église catholique enseigne “une sainte eucharistie qui est le corps de Christ; que lorsque vous recevez ce pain kascher, c’est le Saint-Esprit, l’Esprit Saint, la sainte eucharistie”. Voyez?
Nous, nous croyons que c’est un morceau de pain, nous ne croyons pas que c’est le corps de Christ (nous nous apprêtons à le prendre, dans quelques minutes). Nous croyons qu’il représente le corps de Christ. Mais ce n’est pas...
C’est la différence entre la doctrine catholique et la doctrine protestante. Voyez? L’église catholique dit : “Le corps est... Le pain est le corps littéral. L’église a le pouvoir de transformer ceci.” Avez-vous déjà vu un catholique passer devant une église, incliner la tête et faire des signes de croix? C’est parce que cette petite lumière brûle dans l’église là, à l’intérieur de ce petit tabernacle. Il y a une petite lumière là-dedans, et ce pain kascher s’y trouve. “Et c’est le corps de Christ. Et quand vous prenez ça, vous prenez carrément le corps littéral de Christ, lors de votre première communion, et de vos confessions et tout. Vous prenez littéralement le corps de Christ.”
Questions et réponses sur Hébreux, 3e partie, 57-1006
Qu’est-ce que le lavement des pieds?
S’il vous plaît expliquer si un Chrétien devrait observer le lavement des pieds, de même que le baptême au Nom de Jésus-Christ (ce Nom) au lieu du nom “du Père, du Fils et du Saint-Esprit”. S’il vous plaît.
Très bien. J’en ai eu environ trois comme celle-là, où on a demandé la même chose. Au sujet du lavement des pieds, eh bien, autant commencer par cela. Bon, mais il se peut que vous ne soyez pas d’accord, c’est en ordre. Je vais juste lire un peu, pendant un instant. Ou, si vous voulez le lire, prenez dans Jean, au chapitre 13, pendant un instant. Je voudrais vous demander quelque chose ici. Écoutez ce que Jésus-Christ Lui-même a dit, ensuite je vous ferai prendre, plus loin dans le Testament, je vous montrerai qu’on continue toujours à observer cela. Commencez au verset 2.
Or, pendant le souper, lorsque le diable avait déjà inspiré au cœur de Judas Iscariot, fils de Simon, le dessein de le livrer,
Jésus, qui savait que le Père avait remis toutes choses entre ses mains...il était venu de Dieu, et...il s’en allait à Dieu (Il était sorti de l’Esprit pour devenir chair, et Il allait reprendre la forme d’Esprit. Voyez?),
Il se leva de table, ôta ses vêtements,...prit un linge, dont il se ceignit.
Ensuite il versa de l’eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint.
Il vint donc à Simon Pierre; et Pierre lui dit : Toi, Seigneur, tu me laves les pieds!
Jésus lui dit : Ce que–ce que je fais maintenant, tu ne le comprends pas..., mais tu le comprendras bientôt.
Pierre lui dit : Non, jamais tu ne me laveras les pieds.
Jésus lui répondit : Si je ne te lave, tu n’auras point de part avec moi. (Oh, pouvez-vous imaginer ça! Très bien.)
Simon...lui dit : ...non seulement les pieds, mais... les mains et la tête.
Et Jésus lui dit : Celui qui est lavé...n’a que...besoin de se laver les pieds, vous êtes entièrement...purs, mais non pas tous.
Car il connaissait celui qui le livrait; c’est pourquoi il dit : Vous n’êtes pas tous purs.
Après qu’il leur eut lavé les pieds, et qu’il eut–eut pris ses vêtements, il se remit à table, et leur dit : Comprenez-vous ce que je vous ai fait?
Vous m’appelez Maître et Seigneur; et vous dites bien, car je le suis.
Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez...vous laver les pieds les uns aux autres;
Car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez les uns aux autres comme je vous ai fait.
...vous êtes heureux, pourvu que vous sachiez ces choses et les pratiquiez.
Dans II Timothée, Paul a dit, lorsqu’il a écrit à l’église : “Qu’aucune veuve ne soit admise dans l’église avant d’avoir lavé les pieds des saints.” C’est vrai. On a observé le lavement des pieds tout au long des jours de la Bible. Et, avec l’aide de Dieu, – si je garde mon bon sens et que Dieu me vient en aide, – j’observerai cela jusqu’à ma mort. C’est vrai. C’est carrément un ordre donné par Jésus-Christ!
Questions et réponses, 54-0515
You hear where the church, yet (we do at our church) observe feet washing. Now, they say it's traditional, but yet it's--It's a commandment. They say they did it then as a tradition, and they did. But Jesus left it as an example. And then if He did, it's a commandment. So then we...
When the... Lowest paid man on the job was what they called the foot wash man. He was really just a flunky. He made the--the least money of any of them, because at the home he only washed the guests' feet when they come in.
Then I think of our Lord. Sometimes we think that we're somebody; when the God of heaven changed His cast from God to become man, and He took the position, not of the king, but a foot wash flunky to wash His disciples' feet, and to wipe them with the towel wherewith He was girded. Then if we don't have the highest honor when we're the entertained, or going to be entertained... We have to be noticed by everybody. Then I think about our Lord, how He give us example of taking the lowest place there was, to wash the feet of the guests.
61-0429B One Of The Meanest Men In Town
Qui devrait prendre la communion?
Maintenant, tu as là I Corinthiens, chapitre 11, je crois. Alors je vais te demander de le lire à l’instant, Frère Neville, s’il te plaît. [Frère Neville lit I Corinthiens 11.23-32.—N.D.É.]
Cela n’a pas besoin d’explication. C’est simplement ceci : “Si nous mangeons et buvons indignement, nous mangeons et buvons un jugement contre nous-mêmes, ne discernant pas le Corps du Seigneur. Et c’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts”, voyez, lorsque nous venons prendre la communion. Chaque Chrétien devrait prendre la communion. C’est votre devoir. C’est une confrontation. Voyez? Jésus a dit : “Si vous ne la prenez pas, vous n’avez point de part avec Moi.” Voyez? “Mais celui qui mange et boit indignement, mange et boit un jugement contre lui-même.” C’est-à-dire que, si vous êtes encore là-bas avec le monde et que vous faites les choses du monde, et que les gens vous voient prendre la communion, vous agissez mal. Vous ne faites qu’amener du déshonneur sur vous. Et cela ne peut que vous nuire. Ce n’est pas que cela nuira à Dieu. C’est à vous que cela nuira. La personne devrait donc s’examiner. Et avant que nous abordions ce moment sacré, demandez à Dieu de sonder ma vie. Et si j’ai fait quelque chose qui n’est pas juste, pardonnez-moi pour cela. Ce—ce n’est pas mon intention. Je rectifierai cela s’Il me le révèle. Et je demanderai la même chose pour vous.
Il est dit : “Lorsque vous vous réunissez, attendez-vous les uns les autres.” C’est-à-dire : “Attendez-vous les uns les autres, et priez les uns pour les autres.” Nous voulons prendre cette communion. Et si nous ne le faisons pas, nous n’avons point de part avec Lui. C’est ce qu’Il a dit. Un… Ou plutôt, Jean, chapitre 6.
Maintenant, prions. Priez pour moi, silencieusement, pendant que je prie pour vous. [Frère Branham et l’assemblée prient silencieusement.— N.D.É.] Je Te prie de nous pardonner, par la foi. Que Ton Esprit, ô Dieu, vienne. Je Te prie de nous pardonner toutes nos offenses envers les hommes. Pardonne.
Ô Seigneur, entends notre prière. Ceci est notre prière pour le pardon, Seigneur. Nous prions pour le pardon. Nous prions pour la miséricorde. Pardonne-nous, Seigneur. Comme il est écrit dans Ta Parole : “Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du mal. Car c’est à Toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen.”
59-0301E Que fais-tu ici?
For I truly think that it's the duty of every Christian to take communion. The Bible said, "If you take this not, you have no part with me." And I believe that it is a--a showdown time for the Christians. If we do not take it, we have no part with Him. And if we take it unworthily, then we're guilty of the body and death of Christ.
61-0903 Let Your Light So Shine Before Men
Aucun homme, personne, aucune femme, garçon, fille, peu m’importe qui c’est, n’est apte à aller en chaire, ni même à se dire Chrétien, sans être rempli du Saint-Esprit. Vous n’avez pas droit au souper du Seigneur, ni à la communion, au lavage des pieds, ni rien, tant que vous n’avez pas été purifié par le Saint Feu de Dieu.
La Demeure future de l’Époux Céleste et de l’Épouse terrestre, 64-0802
We are very happy to have you here tonight, and we are glad that you come. And tomorrow night our message is tomorrow night on "The Perfection Of The Believer." And now, come, bring someone with you if your own church doesn't have services.
And now, we're going to have the communion. Maybe some of you... I'm just a little teeny bit late a few minutes, and we're going to dismiss those who have to go.
And those who wish to stay to take the communion and foot-washing with us... We believe in absolutely doing every article that Jesus left for us to do. And if He shall come in my generation and will let me stay in my right mind and keep His love in my heart, I'll be trying my best to do every one of them and be found faithful at the post. God bless you now.
Now, we are having--coming to the communion table. And now, a yet, there's some that doesn't take communion, and maybe you just take it in their own churches, but we'd be happy tonight if you could, would want to, fellowship with us around these things. We never draw any lines of who, just long as you're walking worthy of--of the Gospel that you're--you're listening to and confessing to be part of.
You know you're part of this Gospel. You are--you are written epistles of what we're talking about. And as long as we do something that's reproachful, then we are an indebtiment to what we are listening to. See? We must live what we believe, and live it in such a way that it will never reproach, but reflect Jesus Christ in all things that we do and say. That's way it is. We just love Him for this.
And now, tonight, we're going to read the order of the Lord's table that's found over in II Corinthians, about the 11th chapter. And we read this and just let each individual... How, we do this, if there's newcomers among us, we call the people around the altar in--in succession as they come in, take the communion. And every Christian is worthy.
Now, if you live a life that proves what you are... You want to search your heart. Well, let me be sure to mention this, that the Scripture reads here if we take it unworthily. Now, we know that we are not worthy in ourselves; none of us are. But that we are not trusting in our own worthiness, we're trusting in Him Who has... We're--we're trusting in His worthiness, that we have died to our own thinking, and just think His thoughts, and live to everything that we believe He commands us to, and look back and see what we're living, and look our life over, and if we're doing things that's not worthy of the Gospel, then we shouldn't take the communion.
But if we're doing things that we thinks that it--that our lives could be read of all men, that if anybody could not point a finger and say, "I seen this man in a barroom the other day," "I--I heard this man stand and telling filthy jokes." "This woman doing wrong." Then, if you know that that's the Holy Spirit pointing to you, then--then don't take the communion. But if you--if you feel that--that you're living, that you'd look back and see that all your sins are confessed and under the Blood, then you--you're supposed to take it. You--you're--you're part of it.
Notice, Isaiah said in Isaiah 28:8; he said, "Precept must be upon precept," speaking of this day, "when the tables would be full of vomit," and so forth... every man... They take the communion today. They think because you take the communion that--that you're going to go to heaven. The Bible said ever who takes it unworthy is guilty of the death and body of the Lord Jesus Christ. Amen. That's a sacred order. I don't believe in all this what they call taking communion today.
I went to a church not long ago, and they took a piece of loaf bread or light bread and cut it up in some pieces. And people down through there that drank, and gambled, and smoke, and cuss, and lie, a taking that, and think you'll go to heaven. Brother, you're damning your own soul by doing such a thing. No wonder the tables of the Lord is full of vomit. Sure.
55-1008 The Results Of Decision
Vous ne prenez pas le souper du Seigneur par tradition. Vous le prenez à cause de l’amour de Dieu qu’il y a dans votre coeur, en observant les commandements de Dieu. Voyez-vous, c’est pour ça que vous le prenez.
Alors, si vous ne le prenez pas avec sincérité, que ce n’est qu’une tradition : “Eh bien, notre église prend la communion une fois, chaque dimanche, ou une fois, chaque mois, ou deux fois par an”, et que vous vous avancez là, en disant : “Bon, c’est mon tour”, et–et puis vous prenez la communion, eh bien, pour Dieu c’est une puanteur! Voyez-vous, ça, ce n’est qu’une tradition.
Et c’est pareil, même, pour toute autre chose : vous–vous devez être sincère. Dieu veut les profondeurs de votre coeur. Rappelez-vous, le Dieu même qui vous a amené ici sur terre, c’est Lui que vous servez. Voyez?
Vous faites ceci parce qu’Il l’a dit, parce que c’est Son ordre. Alors, nous voulons nous approcher avec la plus profonde sincérité, en sachant que, par la grâce de Dieu, nous avons été sauvés. Et nous–nous L’aimons et nous avons senti Sa Présence, et nous–nous La voyons changer nos vies. Notre–notre être entier est changé. Nous–nous–nous sommes des gens différents. Nous ne vivons plus comme nous vivions, nous ne pensons plus comme nous pensions.
Il n’y a qu’un seul moyen de le faire. Ce n’est pas en serrant la main, pas en adhérant à l’église, pas par des baptêmes, pas par des émotions; mais avancez-vous vers l’eau de séparation, posez vos mains, par la foi, sur la tête de Jésus, et dites : “Je suis un pécheur, et Tu es mort à ma place. Quelque chose en moi me dit que Tu vas pardonner mes péchés, et je T’accepte maintenant comme mon Sauveur personnel.” Marchez sous le Sang, là-bas, dans la communion fraternelle avec les enfants de Dieu. C’est ça. Mangez le pain, buvez le vin, et soyez en communion fraternelle avec l’église.
Hébreux, chapitre sept 1, 57-0915E
Et nous croyons qu’il y aura ce soir un grand service de guérison. Nous croyons qu’il y aura... Je ne parlerai qu’un petit peu, parce qu’il y a la communion ce soir. Je vais donc parler peut-être vingt ou trente minutes, et ensuite nous aurons la ligne de prière, et, immédiatement après, nous aurons la communion. Nous vous invitons à rester avec nous; cela nous fera plaisir. Nous n’avons pas une communion fermée. La communion s’adresse à chaque croyant; chaque croyant.
Et puis, aussi, dans notre tabernacle, nous avons toujours observé ceci et le lavement des pieds, toujours, parce qu’ils vont de pair.
Now, in the Antitype that we're to speak on, it was many years ago tonight, that Jesus taken what we know as the Lord's supper, the communion. And there's something about it, that He was going to talk to His disciples. And just before going away, He wanted to talk it over with them. And it's a... They had a room prepared. It was a time of fellowship. And the communion does mean a fellowship.
Many of the churches have closed communion; that is, just to their own church when they have their communion. But here we are not a denomination. We have a open communion for all, for we believe that every believer has a right to the table of the Lord and to fellowship around the good things of God with every believer, regardless of creed, color, or whatever he may be, that all have been made drink of the selfsame blessing: Christ.
Mais, la communion, on l’appelle “le souper du Seigneur”. Maintenant, beaucoup de gens veulent la prendre le matin. La Bible n’a pas dit que c’était Son petit-déjeuner. Comment donc les gens d’aujourd’hui peuvent-ils continuer à dire “le souper du Seigneur”, et ils ne le font pas. Ils ont retranché et omis le mot souper, pour appeler cela le “dîner”, c’est absurde. Le souper!
Bon, cela a toujours fait l’objet de controverses aux temps bibliques, c’était controversé en ce temps-là. Les gens comprenaient mal le souper du Seigneur. Quand ils venaient à la table, comme Paul l’a dit à ces Corinthiens, ils venaient et s’enivraient à la table du Seigneur. Vous voyez, c’était mal compris même en ce temps-là. Il a dit : “Si vous voulez manger, mangez chez vous.”
Une autre chose, c’est que c’était mal compris dans son essence. Des pécheurs et des gens qui vivaient dans le péché venaient prendre la communion. C’était mal compris. Un homme vivait avec sa mère, sa belle-mère, et l’église lui en avait parlé, il continuait néanmoins à prendre la communion à la table.
Il y avait des divisions parmi eux, et ils continuaient néanmoins à prendre la communion. Il a dit : “J’apprends que vous vous conduisez comme le reste des gens des nations. Il y a—il y a des frictions parmi vous, comme il y en a notamment chez—chez Céphas, et autres.” Il a dit : “Vous vous conduisez comme le reste des gens des nations.” Vous voyez, c’était mal compris.
La communion a toujours été mal comprise. Maintenant, je pourrais continuer à en parler pendant des heures, mais il faut que nous ayons la communion et le lavement des pieds. Maintenant, ils ont tout simplement abandonné le lavement des pieds, à l’exception de quelques dénominations. Beaucoup de pentecôtistes s’en sont totalement éloignés. Voyez? Pourtant ça se trouve encore dans la Bible, exactement comme cela avait été écrit. Voyez?
Bon, Rome n’appelle pas cela “la communion”. Ils appellent cela “la messe, c’est la sainte messe”. Ils ne prennent pas la communion, ils prennent une messe. C’est une messe, et une chose est sûre, la messe prive la communion de son vrai sens. Messe signifie “espérer”. Ils prennent la messe, et ils espèrent (que ce faisant, au cours de la messe) que Dieu leur pardonnera leurs péchés, du fait qu’ils ont pris “le corps littéral de Christ, car le prêtre l’a transformé pour devenir le Corps et le Sang de Christ”, ils prennent cela, dans l’espoir que Dieu effacera leurs péchés pour l’avoir fait. C’est une messe.
Les protestants appellent cela la “communion”. La communion signifie “action de grâce”. Le protestant… Le catholique prend la messe, dans l’espoir que par cette messe, Dieu lui pardonnera ses mauvaises actions. Le protestant prend cela avec des actions de grâce pour ce qui a déjà été fait par la communion avec Dieu; en communiant avec Lui, tout cela a déjà été fait. Le catholique espère que ce sera fait; le protestant dit que c’est déjà fait. Le catholique se demande si ses péchés sont pardonnés; le protestant confesse qu’ils sont pardonnés, et qu’il est libre. Prendre la communion signifie communier avec Dieu. Et ces éléments, nous les prenons, non pas en espérant que nos péchés sont pardonnés, mais ils sont pardonnés. En effet… Pour l’un, c’est l’espérance, pour l’autre, c’est la foi. L’un espère qu’il est en ordre; l’autre sait qu’il est en ordre. Voyez? L’autre, l’un espère, parce qu’il ne sait pas où il en est; l’autre sait qu’il est en ordre, parce qu’il sait ce que Dieu a dit. C’est ça. Voilà la différence. Donc, si vous ne faites qu’espérer, faites attention; mais quand vous êtes sûr, alors allez de l’avant. Voyez, vous êtes alors en communion avec Dieu. Le protestant, c’est, il dit qu’il est pardonné et il le sait; le catholique va à la messe, il espère qu’il sera pardonné. Voici ce qu’il en est : l’un est un mendiant, il espère que tout ira bien, voyez; l’autre est un mendiant qui rend grâce pour ce qui a déjà été fait. Tous les deux sont des mendiants. Mais l’un mendie en espérant obtenir l’objet de sa quête; l’autre mendiant sait qu’il l’a déjà, et il Le remercie de le lui avoir donné. Voilà donc la différence. Voilà la communion. Oui monsieur. L’un espère qu’il est pardonné; l’autre sait qu’il est pardonné, et rend des actions de grâce pour cela.
Donc, la communion, c’est pour les Chrétiens qui sont nés de nouveau de l’Esprit de Dieu. Naître de nouveau ne signifie pas nécessairement que vous avez le Saint-Esprit, là.
62-1007 La clé de la Porte
Bon, il se fait peut-être un peu tard, il est près de neuf heures et demie, mais maintenant nous allons avoir le service de la communion.
Or, nous, nous appelons ça la “communion”, mais une communion, ce n’est pas ça. Une communion, c’est de parler, de communier. Communier, c’est quand nous nous arrêtons et que nous parlons au Seigneur, que nous communiquons. Mais, maintenant, ceci, c’est ce qui s’appelle “le souper du Seigneur”. Je me demande comment certains de ces modernistes, qui ne disent plus “souper”, et qui appellent ça “dîner”, comment vont-ils réussir à contourner ça? Voyez? Ah-ha. Voyez? Oui monsieur. C’est le souper du Seigneur. Nous croyons ce que dit la Bible, tel quel.
Et nous voulons que vous le sachiez, – que vous soyez méthodiste, baptiste, presbytérien, luthérien, quoi que ce soit, – que vous êtes invité, et en tant que frère parmi nous, si vous êtes né de l’Esprit de Dieu, à vous avancer ici, pour prendre la communion avec nous.
Nous croyons que ceci représente le corps brisé de Jésus-Christ. Et nous croyons qu’il est du devoir d’un Chrétien de la prendre. Nous croyons qu’un homme qui ne mène pas une vie droite, qui vient et qui la prend sans mener une vie droite, mange et boit un jugement contre lui-même, ne discernant pas le Corps du Seigneur. C’est pour ça que ces églises qui se disent chrétiennes ont été trouvées, dans la Bible, “pleines de noms blasphématoires”. Vous voyez? C’est parce qu’en prenant la communion, et en ressortant pour mener n’importe quel genre de vie, cela cause une plus grosse pierre d’achoppement que tous les débits d’alcool qu’il y a partout dans le pays.
À un service de communion, un homme s’est avancé à l’autel pour prier. Frère Branham était debout, derrière les–les éléments de la communion, pendant qu’on les servait, il a dit qu’il “ne pouvait pas s’éloigner pour aller prier à l’autel avec cet homme”. S’il vous plaît expliquer.
J’ai envoyé mon adjoint, vous voyez, Frère Neville. Je me rappelle le soir où c’est arrivé. Je dois rester près de la table de communion, vous voyez, même quand... Regardez un peu. Bon, je n’ai pas le temps d’approfondir ça. C’est quelqu’un qui est assis ici qui a posé la question, bien sûr. Voici ce qu’il en est, frère. Quand–quand vous avez la communion, ça, c’est une représentation du corps de Jésus-Christ. Cela peut être... Cela doit être tenu sous bonne garde, tout le temps.
Questions et réponses, 61-0112
Par exemple, si–si on surprenait Frère Neville, ou Frère Junior, ou Frère... un frère, ici, l’un des diacres ou des administrateurs, ou quelqu’un, à faire quelque chose de mal, je crois que ce qu’il faut faire, c’est que l’église réunie prie pour ce frère. S’il ne met toujours pas sa vie en ordre, alors, que deux ou trois frères aillent avec lui, aillent vers lui, pour l’amener à se réconcilier. Et là, s’il refuse, alors il faut présenter cela devant l’église. Et alors, là, s’ils refusent toujours, c’est à ce moment-là que toute l’église, vous voyez, que le pasteur, les anciens et tout, agissent. Je ne crois pas qu’aucun conseil des diacres n’a le droit d’expulser quelqu’un de l’église, ni qu’aucun conseil d’administration, ni qu’aucun pasteur n’a le droit de le faire.
Je crois que si l’on devait couper la communion avec quelqu’un, ce serait parce qu’il mène une vie immorale, ou quelque chose du genre, qu’il n’est pas digne, par exemple, un homme qui viendrait ici et qui salirait nos jeunes filles, ou–ou qui insulterait nos femmes, et ce genre de chose là, tout en continuant à professer qu’il est l’un des nôtres, ici. Voyez? Bon, s’il est du dehors et qu’il entre ici, eh bien, là, nous devons faire quelque chose, mais, quand il s’agit d’une personne comme ça, d’une personne immorale qui cherche à coucher avec nos femmes ou–ou qui insulte nos filles, ou, vous savez, quelque chose du genre, ou qui a un comportement indécent avec elles, ou qui sort avec nos jeunes garçons, qui en fait des pervertis, ou quelque chose comme ça. Ces choses-là doivent être réglées sans tarder, et on doit couper la communion avec ce gars-là et ne pas lui permettre de prendre la sainte cène, parce que nous ne devons pas faire ça. Non. “Si quelqu’un mange indignement, il est coupable envers le Sang et le corps du Seigneur”, cette personne-là.
Questions et réponses, 61-0112
Now, if you are saying you're a Christian, and still living worldly lives, then you are chastened of the Lord, for you should not be condemned with the world.
Wherefore, when you come together... Wherefore, my brethren, when ye come together to eat, tarry one for the other. (Watch.)
And if any man hunger, let him eat at home; that you come not together unto condemnation. And the rest I will set in order when I come.
You notice Paul here. Those Corinthians, they didn't get it. They went up there and even get drunk at the Lord's table. And they eat and drink, done everything wrong. Paul said, "When you come together, if a man's hungry, let him eat at home. But when you come together, tarry one for another." In other words, "Wait on one another."
You say, "Now, here's a brother that I don't think ought to take the communion." Well don't run up there and jerk him out. Have patience with him. After the service is over, and a time when he... come over to his house some night and sit down, say, "Brother, now, forgive me if I'm wrong. But I seen you down, the other day on the street, drunk," whatever he was doing, "out with some other lady that wasn't your wife, and you're taking communion. I love you, brother. Let--let's you and I pray over this thing and straighten it up." See? Wait on one another. Do service for one another. Don't be bigger than somebody else. Try and see how little you can be.
I've often heard, say, "Don't never be big in your own sight." If you're big, let it be in God's sight. Be little in your own sight. Every man that humbles himself, God will exalt. But those who exalts themself, God will bring abase. See? Be little.
Donc, nous pouvons vous dire pourquoi nous prenons la communion, vous dire pourquoi nous pratiquons le lavage des pieds, pourquoi nous refusons de laisser les membres prendre la communion si nous savons qu’ils vivent dans le péché. C’est pour ça qu’au cours des deux ou trois dernières semaines, POURQUOI NE SOMMES-NOUS PAS UNE DÉNOMINATION? 45 je suis allé d’un membre à l’autre, et j’ai aussi visité ceux d’entre vous qui ont eu des petites querelles. J’y suis allé : l’un refusait de parler à l’autre, on se rencontrait sur la route, et on détournait la tête. Honte à vous, qui avez pris la coupe bénie de Dieu, devant l’autel, ici, qui vous êtes appelés frères et sœurs, et qui, ensuite, prenez le téléphone et vous mettez à dire du mal les uns des autres. Vous n’êtes pas dignes d’être appelés Chrétiens quand vous agissez comme ça. C’est vrai. Tenez-vous loin du téléphone; si vous ne pouvez pas dire du bien de quelqu’un, alors ne parlez pas du tout. Souvenez-vous, Dieu vous en tiendra pour responsables. Tant que ce genre d’esprit-là est en vous, vous savez que vous n’êtes pas en règle avec Dieu.
Pourquoi ne sommes-nous pas une dénomination?, 58-0927
Il ne s’agit pas de ce que Noé a fait, de ce que Moïse a fait, eux sont des exemples; nous voyons et nous lisons ce qu’ils ont fait, mais il s’agit de ce qu’Il a promis de faire maintenant. Il était la Parole à cette époque-là; ça, c’était le Cadavre pour cette époque-là. L’époque de–de Wesley, c’était un cadavre pour cette époque-là; l’époque de Luther, c’était un cadavre pour cette époque-là; mais ils ne retournent pas à ça. C’est déjà contaminé. Ce qui restait, même de la Communion, doit être brûlé; ne le laissez pas là pour la génération suivante. La Bible dit que, quand vous prenez la communion, ce qu’il en reste, ne le laissez même pas là jusqu’au lendemain matin; brûlez-le. Alors, se référer à ça? Non monsieur! Nous avons de la Nourriture fraîche aujourd’hui; c’est la Parole qui a été promise pour cette heure, manifestée en cette heure. C’est là que se trouvent les aigles : là où se trouve le cadavre. Nous pourrions nous attarder longtemps là-dessus, mais je suis sûr que vous comprenez ce que je veux dire.
Questions et réponses n° 1, 64-0823M
Bon, quant à la question suivante... Là, s’il y a une question là-dessus, vous n’avez qu’à lever la main. Je serai heureux de faire de mon mieux.
Pouvez-vous trouver un passage où les apôtres ont pris la communion après la Pentecôte? Paul voulait-il dire que les gens ne discernent pas la Parole? que la seule manière d’adorer Dieu, c’était par le Saint-Esprit?
que, si nous prenons du vin et des biscuits salés, la maladie et le sommeil tombent sur nous?
Maintenant, voici peut-être un cas, je crois, où la chère personne qui demande ceci, il n’y a pas de doute qu’elle s’intéresse profondément et sincèrement à cette question qu’elle pose, sinon elle ne la poserait pas. Et moi je, – mon frère ou ma sœur, quelle que soit la personne, – j’y réponds avec autant de profondeur et de sincérité que vous y avez répondu, ou, que vous l’avez posée.
Je veux maintenant que vous preniez avec moi le Livre des Actes, au chapitre 2 et au, nous commençons au verset 42. Le chapitre 2 des Actes, et nous commencerons, comme je l’ai dit, au verset 42.
Maintenant, souvenez-vous, je ne crois pas pouvoir indiquer un endroit précis où l’Écriture dit que Paul a pris la communion, et qu’ensuite Pierre a tendu la main pour la prendre; mais, quand ils parlent de l’assemblée, il s’agissait là de l’ensemble, de tous. Et je ne crois pas que Paul prêcherait quelque chose et dirait aux autres de faire quelque chose que lui ne ferait pas. Donc, dans les Actes, nous trouvons ceci :
Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres...la communion fraternelle... (Regardez bien! Ils persévéraient, toute l’église, le corps.) ...persévéraient dans l’enseignement des apôtres, et dans la communion fraternelle... (“et”, une conjonction, là, vous voyez) ...et dans la fraction du pain... (Ça, c’est la communion.) ...et dans les prières.
Les apôtres, qui étaient les prédicateurs... Ils persévéraient dans leur doctrine, de la fraction du pain (la communion), ainsi que dans la communion fraternelle et dans la prière. Là, si les apôtres sont exclus de la communion, alors les apôtres sont aussi exclus de la prière. Voyez? Bon, continuons notre lecture. Voyez?
La crainte s’emparait de chacun, et il se faisait beaucoup de prodiges et de miracles par les apôtres.
Tous les croyants étaient dans le même lieu, et ils avaient tout en commun.
Ils vendaient leurs propriétés et leurs biens, et ils en partageaient le produit entre tous, selon les besoins de chacun.
Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple... (C’est-à-dire les apôtres et tous les autres.) ...ils rompaient le pain... (La communion, chaque fois qu’ils se réunissaient.)
C’était là un point de doctrine des apôtres et de l’église primitive : chaque fois qu’ils se réunissaient, ils prenaient la communion. Chaque fois! Bon, je sais que vous, les Chrétiens qui allez à l’église chrétienne (que nous connaissons sous le nom de l’église campbellite; c’est qu’il y en a deux : l’une, c’est l’église du Christ, et l’autre l’église cambpellite), vous dites : “Nous, nous la prenons tous les dimanches matin. Nous avons les Écritures à l’appui de cela.” Vous avez mieux comme Écriture à l’appui que ce qu’a le Branham Tabernacle. Le Branham Tabernacle la prend une fois par mois. Mais l’Écriture dit : toutes les fois que vous vous réunissez. C’est vrai. Ça, c’est chaque fois.
Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur,
Vous voyez, toutes les fois, les apôtres, quand il y avait ces groupes de prière, ces réunions dans le temple, dans les maisons; chaque fois qu’ils se réunissaient, ils rompaient le pain, ils prenaient la communion.
Maintenant, Paul, dans I Corinthiens; nous allons, nous pourrions aussi lire le chapitre 11, c’est ce que nous employons ici pour la communion. Je pourrais le lire, ça pourrait peut-être vous aider : I Corinthiens, chapitre 11. Écoutez parler Paul maintenant, au verset 23.
Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain,
Et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Prenez, mangez. Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi.
De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit... (maintenant, la coupe) ...Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.
Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne.
Voyez? C’est une communion. Je suis tout à fait conscient et tout à fait d’accord que le–le corps du Seigneur, la Parole vivante, c’est Christ Lui-même. Mais ces choses-là sont des symboles, tout comme le baptême, le lavement des pieds et les autres ordonnances de l’Église. Mais la communion est absolument essentielle pour ce qui est du pain, là, du pain et du vin.
C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement...
Maintenant, la question qui a été posée ici : “Si nous prenons–si nous prenons du vin et des biscuits salés, la maladie et le sommeil tombent sur nous.” Vous voyez, c’est que, je crois que, la question est là, que la seule adoration qu’il y ait, c’est par le Saint-Esprit, adorer par le Saint-Esprit. C’est l’exacte Vérité. Vous devez adorer... Toute adoration se fait par le Saint-Esprit, et ce que Paul essaie d’exprimer ici, c’est qu’il faut être dans le Saint-Esprit avant de faire ceci, – sinon on mange et on boit un jugement contre soi-même (voyez?) – avant de faire ceci, avant d’exécuter cet ordre.
Maintenant, pour appuyer ça, j’ai ici un écrit de Josèphe, dans lequel il déclare que les premiers Chrétiens, après la mort de–de Jésus, passaient pour des cannibales, parce qu’ils prenaient le corps du Seigneur et le mangeaient. On pensait qu’ils l’avaient exhumé et emporté, et qu’ils le coupaient en morceaux et le mangeaient. Alors qu’en fait ils prenaient la communion. Voyez?
Maintenant regardez bien pourquoi ce passage de l’Écriture... comment Paul l’exprime ici.
Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain...
Qu’il mange du pain. Bon, je sais que Jésus est le Pain de Vie; c’est vrai. Mais ceci est un symbole, tout comme le baptême. Le baptême ne vous sauve pas; le baptême n’est qu’un signe par lequel vous témoignez à l’assemblée que vous croyez à la mort, à l’ensevelissement et à la résurrection de Jésus-Christ. Ce n’est pas ça qui vous sauve. L’eau ne sauve pas. C’est votre foi qui vous sauve. Par contre, le baptême est un ordre, et il doit être exécuté; en effet, Dieu ne peut pas déclarer qu’il faut être baptisé, et déclarer ensuite qu’il n’est pas nécessaire de le faire. Il ne peut pas instituer la communion, et déclarer ensuite qu’il n’est pas nécessaire de la prendre. Vous devez la prendre. C’est un ordre pour toujours, devant Dieu.
Car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même.
Bon, vous voyez, là? Voilà, on en revient au Chrétien qui veut prendre la communion sans être en Christ, sans communier par l’Esprit; il n’est pas digne de la prendre. Et alors, quand il prend cette communion, il mange et boit un jugement contre lui-même, s’il est là à fumer, à mentir, à voler, à commettre adultère, ou quelque chose comme ça, ou qu’il ne mène pas la vie d’un Chrétien. Les gens voient le genre de vie qu’il mène, puis il vient participer à cette ordonnance, qui évoque la mort et–et le corps de Christ, recevoir en lui un symbole qui atteste que–qu’il a reçu Christ, la Parole, dans son cœur, recevoir en lui ce symbole, après avoir fait ces choses. Il dit qu’il mange et boit un jugement contre lui-même, parce qu’il ne discerne pas le Corps du Seigneur.
Bon, dans quelques minutes, je vais remettre cette même question sur le tapis, si nous y arrivons, parce que, pour le blasphème contre le Saint-Esprit, c’est dans le même ordre d’idées. Voyez? C’est que vous professez quelque chose et, en faisant ça, vous agissez en hypocrite, chose que vous ne devriez pas faire. Bien. Si vous permettez, je vais terminer ceci, et après, vous voyez, après nous arrêterons.
C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup de malades et d’infirmes, et qu’un grand nombre sont morts.
Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres. (Maintenant regardez bien.)
Si quelqu’un mange... si quelqu’un a faim...
Ne venez pas là... parce que dans un autre passage, ici, ils apportaient de la viande et tellement de boissons et de choses comme ça, qu’ils faisaient de la maison du Seigneur un–un lieu où on–on festoyait, et ils s’enivraient à la table du Seigneur. Vous vous en souvenez : ici, dans l’Épître aux Corinthiens. Ils s’enivraient à la table du Seigneur. Mais Paul dit ici :
...si quelqu’un a faim, qu’il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous. Je réglerai les autres choses quand je serai arrivé. (Voyez?)
Ainsi donc, je crois que le fait de manger un biscuit salé... Or, je ne crois pas qu’on devrait remplacer le pain kascher par un biscuit salé. Je crois que ça devrait être un pain saint, sans levain, le genre de pain sans levain qui était préparé en Égypte. Et je crois que le Sang, ça ne devrait pas être du jus de raisin, mais que ça devrait être du vin. Le jus de raisin devient aigre et s’avarie en vieillissant. Le vin, au contraire, se bonifie et prend plus de force en vieillissant; il ne perd jamais sa force. Le Sang de Christ ne devient ni aigre ni avarié; en vieillissant, Il prend plus de force, et Il se bonifie au fil des jours, pour le croyant. Et c’est du vrai vin et du vrai pain. Le pain de la communion devrait être fait par des personnes qui ont donné tout leur être à Dieu, qui se sont consacrées à Lui.
Une fois, je suis allé dans une église où ils ont pris une simple miche de pain – là où des pécheurs blasphémaient et se conduisaient n’importe comment, et dans la souillure – et ils ont coupé ce pain en morceaux, et ils ont mis ça là avec une sorte de jus qu’il fallait boire. À mon sens, c’était–c’était ridicule. Je crois que ce devrait être fait exactement comme l’Écriture le dit; ne dévier en rien des Écritures, s’en tenir strictement à Elles.
Questions et réponses, 59-0628E
C’était là un point de doctrine des apôtres et de l’église primitive : chaque fois qu’ils se réunissaient, ils prenaient la communion. Chaque fois! Bon, je sais que vous, les Chrétiens qui allez à l’église chrétienne (que nous connaissons sous le nom de l’église campbellite; c’est qu’il y en a deux : l’une, c’est l’église du Christ, et l’autre l’église cambpellite), vous dites : “Nous, nous la prenons tous les dimanches matin. Nous avons les Écritures à l’appui de cela.” Vous avez mieux comme Écriture à l’appui que ce qu’a le Branham Tabernacle. Le Branham Tabernacle la prend une fois par mois. Mais l’Écriture dit : toutes les fois que vous vous réunissez. C’est vrai. Ça, c’est chaque fois.
Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur,
Vous voyez, toutes les fois, les apôtres, quand il y avait ces groupes de prière, ces réunions dans le temple, dans les maisons; chaque fois qu’ils se réunissaient, ils rompaient le pain, ils prenaient la communion.
59-0628E Questions et réponses
Maintenant, je crois que les anciens vont regagner leurs postes, et ils…ceux de l’église, et ils feront avancer les gens au fur et à mesure, rangée par rangée, pour la communion. Ayez toujours à l’esprit ce cantique :
Agneau mourant, Ton précieux Sang
Ne perdra point Sa puissance,
Jusqu’au jour où l’Église rachetée
Se tiendra à Tes côtés.
Courbons la tête.
Ô notre bienveillant et Saint Père, Jéhovah, le grand Tout-Puissant, envoie Tes bénédictions sur Ton peuple alors que nous attendons. Pardonne nos péchés. Nous T’offrons maintenant ce sacrement, ce vin, ce raisin qui a été cultivé, et que les mains des ministres ont écrasé. Cela a été transformé en vin pour servir à ce pour quoi nous Te l’apportons maintenant, pour représenter pour nous le Sang de notre Seigneur Jésus-Christ. Je Te prie, Père, de sanctifier ce vin dans ce but. Pardonne chacun de nos péchés. Et que chaque personne qui recevra ce vin dans son corps puisse recevoir de Toi la santé, la force et le salut. Accorde-le, Seigneur. Nous Te le demandons au Nom de Jésus. Amen.
La Bible dit que quand Il a rompu le pain, et qu’Il l’a béni, Il a dit : “Prenez et mangez, ceci est Mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de Moi.” Quand nous prenons ces petits morceaux de pain kasher fait sans levain, ce pain qui est fait par des Chrétiens, c’est fait ainsi parce que cela—cela représente le Corps de Christ. Nous avons appris que—que ce sont les disciples du temps de Christ, ou du temps de l’église, qui avaient pris ces morceaux pour préparer le souper lors du dernier souper, lors du dernier souper de Christ. Et tout au long de la Bible, ce sont les disciples qui servaient ces choses aux gens. Et aujourd’hui, ce sont les disciples des temps modernes, nos frères de cette église, les disciples de cette Cause, qui servent les gens. Ils prendront ces morceaux et les donneront aux gens.
Et maintenant, quand vous recevez ce pain, souvenez-vous que ce pain représente l’Agneau. Il y a de nombreuses années, quand l’agneau d’Israël avait été rôti au feu, et qu’on l’avait mangé avec des herbes amères, le peuple avait été fortifié; leurs chaussures ne s’étaient jamais usées, et leurs vêtements ne s’étaient jamais effilochés, tout au long du voyage jusqu’à ce qu’ils arrivent au pays promis. Que Dieu nous garde en bonne santé, heureux, à Son service jusqu’à ce que nous arrivions au Pays promis qu’Il nous a donné.
Prions.
Bienveillant Père Céleste, alors que j’ai parlé ce soir de ce Corps saint et sanctifié de notre Seigneur, en Qui habitait la plénitude de la Divinité, quand je pense à ce Corps qui a été cinglé et—et brisé, et au Sang qui a coulé, à Son dos et à Ses côtes qui brillaient par suite des coups de fouet qu’Il avait reçus partout dans le dos, quand je pense que c’est ce que ce pain battu et rugueux représente, tout cela est ravivé dans notre cœur, Seigneur, nous déposons notre cœur sur Ton autel ce soir. Pardonne-nous, ô Dieu. Puisse ce pain qui a été rompu, alors qu’il entrera dans la bouche de Tes serviteurs, puissent-ils reconnaître que c’est Ton précieux Corps qui avait été meurtri et blessé, et que c’est par Tes meurtrissures que nous sommes guéris. Accorde-le, Seigneur. Sanctifie ce pain kasher afin qu’il serve son but. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
62-1007 La clé de la Porte
Notice Abraham. There he was. And he met Melchisedec, which is the King of Salem, King of Jerusalem, King of peace, without father, without mother. And notice, He blessed Abraham after the battle was over. When the battle was over, He blessed Abraham. And notice what he did. He brought out wine and bread and give it to him. Wine and bread is the communion. They took communion after the battle was over.
Sure, one of these days we're going to take communion again when the battle is over. When we brought back the lost children, the lost sheep of the fold, have brought them back into reconciliation, and life is finished, then we'll have communion again with the Melchisedec of heaven, Christ. He will bring out the bread and wine, and we'll enjoy it together.
59-0415E The Faith Of Abraham
Matthieu, chapitre 26 et verset 26. Bon, là, nous l’avons, nous y sommes, le dernier souper.
Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le donna à Ses disciples en disant : Prenez, mangez, ceci est mon corps.
Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, en disant : Buvez-en tous;
Car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, pour qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés (p-é-c-h-é-s, des péchés, les Chrétiens qui commettent des fautes).
Bien. “Je...”
Je (écoutez, verset 29) vous le dis, je ne boirai plus désormais du fruit de la vigne, jusqu’au jour où j’en boirai du nouveau avec vous dans le royaume de mon Père.
Qu’est-ce? La même chose que ce que Melchisédek a fait, après qu’Abraham a pris sa position. Il avait disposé ses hommes en ordre et gagné la bataille, et il était rentré, et Melchisédek est arrivé avec du pain et du vin. Après que la bataille sera terminée, alors nous mangerons le Souper des Noces avec le Seigneur Jésus, dans le nouveau monde. Oh, béni soit le Nom du Seigneur. Très bien.
Who was this King of Salem? A great King of Jerusalem, not the earthly, the heavenly. The earthly Jerusalem was a type of the heavenly; and here come the King of Salem which is first the King of righteousness, the King of peace. He didn't have any father, didn't have any mother. He didn't have beginning of life or ending of days. Oh, my. Without a descent, none other than Christ, Himself. That's Who the Church meets when they go up into the air.
And when Abraham met Him, he give Him the tithes of all that he possessed. You know what they did? The first thing they did was set down (I feel really emotional.), set down and broke bread and drink wine and taken the communion after the battle was over.
And the Bible tells us, Jesus Christ did, that, "We'll eat no more of the fruit of the vine, until I eat it anew with you in my Father's Kingdom." That when the last battle is fought and the victory's won and the waywards has been brought back to the Kingdom of God, we'll set down in the Kingdom of God, and with our Melchisedec Who has no beginning of days or ending of here... (Oh, my, He's our King that's eternal One), eat the communion again with Him. Oh, what a beautiful picture, just marvelous, Old Testament gives to the New Testament believers.
Oh, weary pilgrim tonight, come back to the Father's house. Come up out of Sodom. You've been reconciled by the Blood. And this glorious memorial night, when our great Melchisedec, Who had no beginning of days or ending of life, but is a King and a Prince forever and forever...
The Holy Spirit here tonight is a-wooing to the unsaved, now if you're without Christ tonight. And when the battle is over if you want to meet Him in peace and take the communion with Him, and you've promised that you love Him, and separate yourself from the things of the world, take the old rugged Gospel and the old fashion rugged way, and drink the cup of the bitterness of the persecution of the world. And drinking the bitter drugs of persecution of the world, it's given to us by the Bible that we'll drink the sweet wines of heaven someday, when we meet Him in peace yonder between the heavens and earth when He comes to serve the communion.
As soon as the battle was over, what did he bring out? Bread and wine, the communion. And they took communion after the battle was over. Let's fight now, bring back the lost brother. Jesus said, "I'll drink it anew with you in the Father's Kingdom." After the battle's over. Amen. Melchisedec came out, met Abraham, and gave him communion.
Et, remarquez, quel beau type nous trouvons ici. Une fois la bataille terminée, après que le—le vrai croyant a combattu l’ennemi, démoli ses lignes et essayé de rattraper son frère, que la vraie Postérité d’Abraham a ramené ce frère rebelle, alors Melchisédek est venu et Il a servi le vin et le pain, la communion, Il a servi la communion, une fois la bataille terminée, Il lui a servi la communion, après la bataille.
Un très beau type du moment où la bataille sera terminée ici sur terre, quand les victoires auront été remportées. Jésus a dit “qu’ils en mangeraient à nouveau dans le Royaume du Père”, après que le rebelle aura été ramené. Alors, la première chose que nous ferons quand nous entrerons, une fois la bataille terminée, ce sera de nous mettre à table, dans le Royaume de Dieu. Et là, ceux qui auront combattu, et se seront assis et auront vaincu, ils seront revêtus de la justice de Christ, et là, de nouveau, ils prendront le pain et le vin, dans le Royaume du Père, de l’autre côté. Voilà une image vraiment très réelle : Abraham qui part chercher Lot et qui le ramène.
But after Abraham (the true, righteous one of God), when he'd had the revival, after the battle was over, Melchisedec met him; and Abraham gave Him a tenth of the spoils. And what did Melchisedec serve him? Wine and bread, the communion, after the battle was over. Jesus said, "I'll not eat it any more with you, until I eat this anew with you in My Father's Kingdom." When the battle's over, servant of God, someday Melchisedec, the great King of peace, the great King of heaven, without father, without mother, without beginning of Life or ending of Life--without beginning of days or ending of Life, He will meet us after the battle's over, and serve us communion.
Oh, seed of Abraham, bless your heart. Aren't you happy that you can be a seed of Abraham, a servant of God battling against the things of the world? Oh, how it makes your heart feel to see the very church that you love falling out into the world; and you reach for it, and pull for it, like that, and try to shake it and show it. It'll drift right straight back out in the same thing. See? But remember,
When the battle's over, we shall wear the crown!
We shall wear the crown, yes, we shall wear the crown!
And when the battle's over, we shall wear the crown
In the New Jerusalem.
Wear the crown, wear the crown,
Wear a bright and shining crown.
And when the battle's over, we shall wear the crown
In the New Jerusalem.
Maintenant c’est le moment de la communion. Pendant que nous inclinons la tête, je vais demander que quelqu’un vienne au piano.
Seigneur, c’est maintenant l’heure, le moment où peut-être que les hommes et les femmes, Seigneur, partout dans le monde, verront que la grande heure du jugement approche, où Dieu jugera toutes les nations dans leur situation politique. Partout, en tous lieux, et tous, ils devront subir les jugements de Dieu. Et, Père, nous sommes si heureux de savoir qu’il y a un moyen d’échapper pour ces gens, pour ceux qui désirent échapper. Et cette voie, c’est par Jésus-Christ, qui est la–la Postérité de David. Et nous Te remercions, Père bien-aimé, de L’avoir envoyé sur terre, Lui qui était l’Intermédiaire vers lequel nous pourrions aller; Tu allais intercéder pour nous et ôter nos péchés, afin que nous échappions à la colère et au jugement de Dieu. Nous savons que la colère va venir. Et alors, comme Jean l’a dit autrefois : “Fuyez la colère à venir.”
Maintenant, Seigneur, nous prions, comme nous allons prendre la communion, ce soir, que Tu nous sanctifies, Seigneur, par Ton Sang purificateur; et que chaque péché de ces gens soit pardonné. Je Te prie humblement et sincèrement, ô Dieu, de ne pas permettre qu’un seul d’entre nous la prenne indignement. En effet, Tu as dit dans Ta Parole que, si nous le faisons, alors nous sommes coupables envers le Corps et le Sang du Seigneur. Maintenant, Père, fais que ces gens soient saints et consacrés, afin que nous puissions la prendre en étant irrépréhensibles.
Et maintenant, Père, nous sommes conscients que la première fois que la communion a été donnée, c’était en Égypte. Et ces gens qui ont pris la communion – l’agneau et le pain – au moment de se mettre en route, pendant quarante ans ils ont fait route dans le désert et, quand ils sont sortis du désert, il n’y avait pas un seul infirme parmi eux. Ils avaient pris la communion.
Ô Dieu, fais miséricorde. Je prie que tous les malades soient guéris, que tous les perdus soient sauvés. Et ceux qui sont formalistes et indifférents, puissent-ils s’approcher des feux de Dieu, y réchauffer leur âme. Accorde-le, Seigneur. Pardonne-nous, maintenant, et aide-nous. Nous prions au Nom de Ton Fils.
Et, pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande (alors que le frère joue un peu, au piano) s’il y a ici une personne qui voudrait lever la main, pour dire : “Frère Bill, je–je, sincèrement... pour l’état d’une âme. Je–je–je veux que vous ayez une pensée pour moi. Je–je–je veux recevoir le Saint-Esprit.” Voulez-vous lever la main? Pour dire : “Ayez une pensée.” Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, et vous, et vous, et vous, et vous. Que Dieu vous bénisse, et vous. Que Dieu vous bénisse, madame, et vous, et vous, et vous, frère. Oh, il y a des mains partout. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, sœur. Vous, sœur, je vois votre main. Vous indiquez que vous voulez recevoir le Saint-Esprit. Que Dieu vous bénisse, frère.
Ne désirez-vous pas avoir une marche plus rapprochée? Souvenez-vous, mes amis, nous vivons tout près de la venue de notre Seigneur. Dieu confirme maintenant Ses Paroles, il y a des signes et des prodiges partout.
Or, certainement que Dieu ne permettrait pas que j’aille dans divers lieux, que je sois oint du Saint-Esprit afin d’accomplir des signes et des prodiges, que je revienne prêcher la Parole, et tout, et qu’Il y ajoute Sa bénédiction partout, qu’Il accomplisse ces choses, sans qu’Il m’ait transmis une certaine conception de Sa Parole. Il n’accorderait pas ça. Donc, vraiment je sais ce que je dis.
Si vous n’avez pas Jésus-Christ, que vous n’avez pas le Saint-Esprit, puisse Dieu ne vous laisser aucun repos tant que vous n’aurez pas reçu le Saint-Esprit. Ne vous y trompez pas. N’allez pas vous contenter d’une de ces confessions faites d’un œil sec, et dire ensuite que vous avez reçu le Saint-Esprit. On ne reçoit pas le Saint-Esprit au moment où on croit. Le Saint-Esprit, on ne Le reçoit pas du fait qu’on croit. C’est un don de Dieu. Paul a dit : “Avez-vous reçu le Saint-Esprit après avoir cru?” Donc, croyez-le. Et puisse Dieu vous L’accorder.
Maintenant, Père, quant à ceux qui ont levé la main, je Te prie de leur donner la Personne du Saint-Esprit à l’instant. Puisse-t-Il entrer profondément en eux, ce grand nombre, dix ou quinze qui ont levé la main. Je Te prie de donner à chacun d’eux le baptême de Ton Être. Qu’ils soient remplis du Saint-Esprit, à tel point que les signes et les prodiges se produiront dans leur vie, ils verront se produire des signes de toutes sortes. Comme Jésus l’a dit : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.” Accorde-le, Père. Nous prions humblement, au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen.
Questions et réponses n°2, 54-0103E
Recette pour la préparation de la communion
Ces petits morceaux, c’est du pain kascher, qui a été préparé sans saindoux, sans assaisonnement ni rien, et ça représente le corps du Seigneur. Il n’est pas rond, on l’a rompu en morceaux. C’est parce que ça représente Son corps rompu, qui a été rompu pour nous.
Or, Il a dit : “Je vous laisse Ma paix. Je vous donne Ma paix.” Pas comme le monde vous donne la paix, mais comme Lui vous donne la paix. Sa paix nous désaltère. Si nous aspirons à la paix, alors rafraîchissons-nous dans la paix que Lui donne, de savoir que nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ. Il est Celui qui nous donne la paix, qui nous désaltère.
Le verset qui dit : “Il est vraiment une Nourriture et vraiment un Breuvage.” J’ai fait une petite marque ici, au verset 57 : “Vraiment une Nourriture et vraiment un Breuvage.” Écoutez ce qu’Il dit ici.
Et comme le Père qui est vivant m’a envoyé, et que je vis par Mon Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.
Autrement dit : “Le Père M’a envoyé, et Je vis par Lui. Et tout homme qui vient à Christ doit vivre par Christ.” Oh! la la! voilà, c’est ça la communion. C’est ça la vraie communion que vous trouvez, c’est quand vous vivez par Christ.
Or, nos corps ont besoin chaque jour de nourriture et de boisson, pour survivre, notre corps physique. Si nous ne mangeons pas chaque jour, et que nous ne buvons pas, alors notre corps s’affaiblit. Il y a quelque chose en nous qui fait qu’il nous faut prendre de la nourriture. La nourriture pour un jour ne durera pas pour le lendemain. Il vous faut prendre de la nourriture chaque jour, pour fortifier votre être mortel. Vous pouvez continuer à vivre, mais vous êtes plus faible. Le deuxième jour, vous êtes encore plus faible. Et le troisième jour, vous devenez terriblement faible.
Eh bien, souvent c’est ce que nous faisons dans le domaine spirituel. Vous voyez, chaque jour nous devons communier avec Christ. Nous devons Lui parler chaque jour. Nous devons tout mettre en ordre avec Lui chaque jour. Paul a dit : “Je meurs chaque jour.” Voyez? “Chaque jour, je meurs; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi.” Alors, si votre corps physique a besoin de nourriture chaque jour et de boisson chaque jour, pour survivre, votre corps spirituel a besoin de Nourriture spirituelle et de communion avec le Seigneur chaque jour, pour survivre. Oui. Jésus a dit : “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.” Donc, chaque jour nous devons étudier la Bible. Certaines personnes ne L’étudient pas du tout. Certaines La prennent deux ou trois fois par année. Mais un croyant, un vrai de vrai, qui est vraiment affermi spirituellement, il lit sa Bible chaque jour, et il parle au Seigneur. C’est vrai. Pour lui, c’est indispensable. “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.”
Maintenant, une autre raison pour laquelle nous prenons de la nourriture, c’est pour fortifier notre corps afin qu’il résiste aux maladies. Si vous ne prenez pas de nourriture et que vous laissez votre corps s’affaiblir, alors il sera sujet aux maladies. Les maladies vont s’introduire dans le sang, et là vous êtes fini. Si votre sang n’est pas riche et pur, eh bien, ce qui arrivera, c’est que la maladie ira directement dans votre sang. Donc, il faut que vous mangiez de la bonne nourriture nourrissante, pour que votre sang conserve ses qualités. Si vous ne le faites pas, vous serez prédisposés aux maladies. C’est ça le problème de beaucoup de Chrétiens.
C’est comme des plantes de serre chaude. Une plante qui sort d’une serre chaude, vous savez, elle, il faut la dorloter. Elle ne sait rien des conditions atmosphériques. Elle ne sait rien du soleil et tout, elle a été recouverte et dorlotée. C’est ça le problème de trop de prétendus Chrétiens, ce sont des plantes de serre chaude. C’est vrai, sujets à attraper tous les microbes qui passent! Vous savez, il n’y a que les–les... Il n’y a que les–les plantes délicates qu’il faut vaporiser, ou, les plantes hybrides.
Une vache Hereford, vous savez, lâchez-la dans le pré, et lâchez-y une vache Longhorn, cette Longhorn pourra se débrouiller toute seule, parce qu’elle est de la race originale. Mais une Brangus ou une Hereford, qui est issue d’un croisement, qui est hybride, c’est une vache qui a une meilleure apparence, c’est sûr, plus grasse et en meilleure santé, mais si vous les lâchez là, elles ne peuvent pas se débrouiller. Elles mourront! Il faut qu’on les dorlote. Voyez?
C’est ce qui se passe aujourd’hui : nous avons des Chrétiens mieux habillés, de plus grandes églises, et beaucoup de–d’instruction, beaucoup de théologie, mais il faut les dorloter tout le temps, il faut regarder les choses à travers leurs lunettes à eux, sinon on ne voit rien du tout. Ce qu’il nous faut, ce sont des Chrétiens de race, nés sous le Sang du Seigneur Jésus, qui ne tirent pas leur vie d’une théologie d’église, mais de la Parole de Dieu, de la communion avec Christ. Alors que la Parole entre dans le croyant, son–son corps spirituel est affermi. Pas un bébé de serre chaude!
Un certain ministre disait aujourd’hui, je l’ai entendu, il disait, lors d’une émission radiophonique, il disait que, lorsqu’il est arrivé au pays, il avait de gros problèmes de sinus, et qu’on envisageait une opération. On lui avait dit qu’on allait faire ceci et cela, l’inciser et opérer, et qu’on allait retirer une partie des glandes des sinus, ce qui provoquerait un affaissement de son visage, et ainsi de suite. Et il disait qu’il avait pris des tonnes de pilules. D’après ce qu’il disait, il était obligé de prendre un certain nombre de pilules. Mais quand il s’est présenté devant un bon médecin Chrétien, ce médecin a dit : “Oublions les pilules et oublions l’opération, et fortifions le corps pour qu’il puisse résister à la sinusite.” C’est ça!
Qu’est-ce qui fait que les gens ne vivent pas aussi longtemps qu’autrefois? Il faut recevoir une injection contre ceci et une injection contre cela, et on se vaporise avec toutes sortes de médicaments. Qu’est-ce que ça produit? Ça nous rend mous, gras, flasques, bons à rien. Alors que l’homme d’il y a longtemps... Eh bien, nous sommes allergiques à tout. Maintenant les gens ont des allergies anormales, et tout le reste.
Je me suis trouvé en Afrique, sans avoir pu recevoir de vaccination contre la malaria. Mais si un moustique porteur de malaria s’était posé sur ma main, j’aurais eu la malaria. Ils ne bourdonnent pas, et c’est à peine si vous les remarquez. Ils se posent, ils se posent simplement, et ça y est, vous l’avez. Si vous restez en vie, vous l’aurez pendant quinze ans. Et parfois vous en mourez. Et les indigènes étaient là, dans leur petite case, les jambes couvertes de moustiques, et ils étaient nus. Les moustiques les piquaient, des moustiques porteurs de malaria, et ça ne les gênait pas du tout. Pourquoi? Ils étaient devenus immunisés. Ils avaient reçu de Dieu un vaccin.
C’est ça le problème des gens aujourd’hui. C’est ça le problème de l’église. On nous a administré tellement de vaccinations infantiles, et tellement de théologie humaine, que nous sommes complètement vaporisés. Ce qu’il nous faut, c’est la vaccination de Dieu, par la Parole du Seigneur Dieu. L’homme vivra chaque jour de cette sorte de Nourriture là, afin d’édifier son âme, qu’elle soit vaccinée contre les maladies spirituelles qui abondent et se répandent un peu partout dans le pays. J’ai beaucoup de notes là-dessus, mais je vais devoir m’arrêter.
Maintenant, fortifiez-vous, préparez-vous pour la vaccination. Or, nous vivons de ceci, nos–nos corps doivent avoir ceci. Si nous ne l’avons pas, alors nous sommes sujets à toutes sortes de maladies. Et la Parole de Dieu, alors que nous La croyons et que nous L’acceptons, par la communion : “Seigneur, Ta Parole est la Vérité.”
“Mon église dit qu’on n’a pas besoin de naître de nouveau. Ils disent : ‘Se serrer la main, c’est naître de nouveau.’ Ils disent : ‘L’aspersion.’ Ils disent toutes ces autres choses : ‘C’est ça qu’il faut : Père, Fils et Saint-Esprit.’” Mais la Bible dit qu’il faut être baptisé au Nom de Jésus-Christ. Voyez? Bon, allez-y, recevez ces injections artificielles si vous voulez, vous deviendrez alors un Chrétien artificiel. Voyez? Ce n’est pas ça que vous voulez.
Vous ne pouvez pas avoir la Vie, si ce n’est par Christ. Et maintenant, qu’est-ce que Sa Parole produit? Elle édifie notre corps spirituel, alors que nous communions avec Lui, Elle le rend fort, pour qu’il résiste au diable.
Vous dites : “Frère Branham, qu’est-ce que vous dites, au juste : ‘communier dans Sa Parole’?”
Oui, Il est la Parole. “Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.” Et nous devons manger Son corps. Alors, Son corps, c’est Sa Parole, puisqu’Il est la Parole. Et Il a dit, dans Jean 15 : “Si vous demeurez en Moi, et que Ma communion, Ma Parole, demeure en vous, alors vous pouvez demander ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.” Voilà. C’est vrai. Voyez-vous, demandez ce que vous voudrez!
Qu’est-ce que vous faites? Vous fortifiez votre corps, pour qu’il soit vacciné contre... Quelqu’un se présente et dit : “Oh, pousser des cris de joie, notre église ne croit pas à ça.” Voyez, vous êtes affermis. Quoi? Vous avez la communion en vous, la Parole. Et vous êtes vaccinés contre ça. Si un tas d’absurdités s’introduit, qu’en est-il? Il n’y a pas la Parole là-dedans, alors vous êtes sûr que c’est faux. Peu importe à quel point ça peut sembler vrai, si ce n’est pas la Parole, laissez-le de côté. C’est ça, laissez-le de côté. Peu importe ce que ça peut produire, il faut que ça concorde avec la Parole!
En priant, j’ai cité Michée, qui se tenait là, regardez, ça semblait vraiment être la bonne chose à faire; en effet, il y avait là Israël, et cette étendue de pays leur appartenait. Ces étrangers étaient entrés, ils la leur avaient ôtée et ils y avaient construit leurs propres maisons. Ils occupaient une partie du pays que Dieu leur avait donné. Il semblait donc que ces quatre cents prophètes hébreux avaient raison. Mais, vous savez, Josaphat, il avait un côté spirituel, il a dit : “N’en as-tu pas un autre?”
Il a dit : “J’en ai bien un autre, mais”, il a dit, “je le hais. Il ne fait que prophétiser du mal.”
Il a dit : “Va le chercher, et écoutons-le.”
Il s’est présenté là, et il a dit : “Vas-y, vas-y, monte, mais j’ai vu Israël dispersé comme des brebis qui n’ont pas de berger.” Et ensuite il a raconté sa vision.
Or, qui avait la vision juste? Il semblait que c’étaient les quatre cents prophètes qui avaient raison. Quatre cents hommes qui avaient reçu une solide formation, qui disent : “Monte, l’Éternel est avec toi.” Sédécias avait même une–une–une–avait une... Sédécias s’était fait deux grandes cornes de fer. Il a dit : “C’est avec ceci que tu repousseras les étrangers du pays.” Il était sûr qu’il avait raison. Il savait qu’il avait raison. Mais, vous voyez, il avait tort.
Et voici Michée, un seul contre quatre cents, et il dit : “Si tu montes, Israël sera dispersé, sans berger.”
Les autres ont dit : “Monte, l’Éternel est avec toi!” Or, matériellement, ils avaient raison, cet endroit appartenait effectivement à Israël. Mais la Parole du Seigneur avait condamné Achab, alors, comment Dieu pouvait-Il bénir ce qu’Il avait condamné?
On en est là aujourd’hui. Voyez? La Parole de la communion était en Michée. Or, si vous communiez avec Dieu en prenant la vraie communion, et que l’esprit en vous est en désaccord avec cette Parole, vous ne communiez pas avec Dieu, vous communiez avec des démons. Et ils arrivent tellement bien à imiter! La Bible dit que “dans les derniers jours, ils arriveraient presque à séduire les Élus eux-mêmes, si c’était possible. Mais les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera pas.” Et comme Paul l’a dit, dans Galates 1.8 : “Si un ange du ciel prêche un autre Évangile que Celui-ci, que vous avez déjà entendu, qu’il soit anathème.” Même un ange! Dans l’église primitive, quand il y avait ces hommes, comme saint Martin, Irénée, ces hommes saints, et que le diable apparaissait comme un ange de lumière. Mais, observez, il sera un petit peu à côté de la Parole.
Il est apparu à Ève comme un ange de lumière, il lui a dit : “Bien sûr, le Seigneur a dit ceci, le Seigneur a dit ceci”, mais, tout à la fin, il était en désaccord avec Dieu. Et c’est comme ça que se fait la fausse communion aujourd’hui. Quand les gens pensent qu’ils prient Dieu, alors qu’ils n’obéissent pas à la Parole, c’est une fausse communion.
“Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, alors demandez ce que vous voudrez,” voyez-vous, “et cela sera accordé.” Bon, alors ça ne peut pas aller une fois, et puis, la fois suivante, ça ne va plus. “Vous demeurez en Moi, Mes Paroles demeurent en vous”, ça veut dire rester là. Demeurer signifie “ne pas bouger de là”. Oui, c’est–c’est un vaccin contre les maladies du péché.
Maintenant, je vais conclure en disant une seule parole encore, avant de passer à la table de communion. Le Sang et le Corps du Seigneur, mêlés avec de la foi, donc, le Sang et le Corps, c’est-à-dire l’Esprit et la Parole, mêlés avec de la foi, équivalent à la Vie Éternelle. “Celui qui mange Ma Chair et qui boit Mon Sang a la Vie Éternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.” Voilà. Qu’est-ce que c’est? La communion du Seigneur. La Parole et l’Esprit, cette Vie qui est dans le Sang, la Parole et l’Esprit équivalent à la Vie Éternelle, par la foi dans le Seigneur.
Voici ma prière, alors que je vois la fin approcher, et que je vois que, d’une minute à l’autre, quelque chose pourrait arriver, que je sais que nous ne sommes pas loin de la Venue du Seigneur. Seigneur, alors, au Nom du Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, permets-moi de prendre la Parole, l’Épée, et de La brandir avec toute la foi que j’ai, me tailler un passage à travers toutes les puissances démoniaques, jusqu’à ce que je voie Jésus, par la communion de Sa Parole.
Communiez avec Sa Parole. “Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, alors demandez-Moi ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.” Comme c’est beau! Voilà la vraie communion; munis de la Parole et de l’Esprit, de la foi pour La brandir ensemble : “Demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.” Prions.
Bienveillant et noble Père saint, Dieu, le grand JE SUIS, l’El-Shaddaï pour Abraham. Ô Dieu, dire que cette grande communion avec le Seigneur équivaut à la Vie Éternelle, dire qu’Elle vaccine contre l’orgueil, qu’Elle vaccine contre l’incrédulité, qu’Elle vaccine contre le péché du monde! C’est la communion, avec de l’amour Divin envers notre Père Céleste. Par la justice de Jésus-Christ nous avons accès à cette table. Nous Te prions, Seigneur, de donner à chacun de nous cet accès, ce soir, dans l’Esprit. Pardonne-nous. Nous voulons que nos corps spirituels grandissent. Adhérer à une certaine église ou à une certaine dénomination, ça ne nous intéresse pas. Nous voulons édifier le corps spirituel, pour qu’il soit vacciné contre le péché, au point qu’il n’y ait plus aucun désir de faire le mal, et que le Saint-Esprit puisse prendre Sa propre Parole, s’emparer de nos lèvres, et La prononcer avec autant de fraîcheur que lorsqu’Elle a été prononcée ce jour-là, parce qu’il s’agit de l’Esprit même qui était dans le Seigneur Jésus. Je Te prie, Père, de nous donner cela.
Les heures s’abrègent de plus en plus. Nous ne savons pas au juste à quel moment le dernier sera sauvé. Mais je prie ce soir, Seigneur, si certains ici ne Te connaissent pas comme leur Sauveur, qu’ils puissent Te trouver ce soir, alors qu’ils viendront dans l’eau du baptême, en commémoration, comme une confession à ce corps de croyants, qu’ils croient le récit qui dit que Jésus de Nazareth est né de la vierge Marie, qu’Il a été mis à mort, crucifié par Ponce Pilate, et qu’Il a été ressuscité par Dieu le troisième jour, et qu’Il est assis à la droite de la Majesté Divine, ce soir, toujours vivant pour intercéder.
Accorde, Seigneur, que cette même personne qui obéira aux commandements de la Bible : “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour la rémission de vos péchés. Car il n’y a sous le Ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel vous deviez être sauvés.” Ô Dieu, que les gens en voient la sincérité, et combien cette Parole est inébranlable : “Il n’y a sous le Ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel vous deviez être sauvés, si ce n’est au Nom de Jésus-Christ.” C’est pourquoi l’apôtre a dit : “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour la rémission de votre péché, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour chaque âge, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.” Seigneur, fais que beaucoup de gens soient appelés, ce soir.
Il est aussi dit par notre Seigneur : “Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire, et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi. Mes brebis entendent Ma Voix.” Un étranger, et si un étranger parle, une voix qui n’est pas scripturaire, tout de suite les brebis la reconnaîtront. Ô Dieu! Et si c’est Ta Voix, la Bible, ce qui Y est dit, alors chaque brebis L’entendra, parce que C’est la Nourriture des brebis. Elles ont communié. Elles savent quelle sorte de Nourriture le Père donne à manger. “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.” Permets, Seigneur, que beaucoup voient et comprennent, et viennent à Toi ce soir.
Ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit, qu’ils n’attendent pas une heure de plus. Dans une heure il sera peut-être trop tard. Ils ne seront peut-être plus ici.
Père, alors que nous nous sommes rassemblés autour de la table maintenant, afin de prendre cette représentation de Ton corps brisé – s’il y a un péché au milieu de nous, Seigneur, nous Te prions de nous pardonner. Tu as dit : “Lorsque vous vous réunissez, attendez-vous les uns les autres.” Ô Dieu, s’il y a un péché quelque part dans cette assemblée, je prie que le Sang de Jésus-Christ détache cet homme de son péché, ou cette femme, ce garçon ou cette fille. Et, Père, je Te prie pour moi-même, de me détacher de tout doute, de tout péché, de toute incrédulité, de tout. Nous savons que l’incrédulité est le péché. C’est le seul péché qui soit. “Celui qui ne croit pas est déjà jugé.” Le seul péché qui soit, c’est de ne pas croire la Parole de Dieu. Et, Père, s’il y a de l’incrédulité en moi, pardonne-moi, ô Dieu, et il y en a beaucoup, aussi je Te prie de me pardonner. Pardonne à mon assemblée, que Tu m’as donnée, ce soir, et nourris-les de Ta Parole. Accorde-le.
Et, alors que nous prenons ces petits éléments commémoratifs du corps rompu de Celui qui est ressuscité des morts et qui est vivant parmi nous aux siècles des siècles, puissions-nous recevoir de Lui la communion, Seigneur, la communion du Saint-Esprit. Accorde-le, Père. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Maintenant, pour vous qui devez partir et qui ne pouvez pas rester pour le service de communion, qui durera environ quinze minutes... Nous ne sommes pas nombreux, et nous prendrons la communion. Ce n’est pas une communion fermée. C’est absolument pour chaque croyant Chrétien. Dieu ne trace pas de ligne de démarcation entre les baptistes et les méthodistes, et ainsi de suite. Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps, et nous sommes concitoyens du Royaume de Dieu. S’il y a un inconnu parmi nous, je ne suis pas beaucoup ici, je ne sais pas qui est membre et qui ne l’est pas. Souvenez-vous, quelle que soit l’église dont vous faites partie, ça n’a aucun rapport. De toute manière, il n’y a qu’une seule Église, et vous n’Y adhérez pas, vous Y naissez. C’est vrai. Vous naissez dans cette Église de Dieu. Et nous prions que vous receviez Christ ce soir, que vous communiiez avec Lui, alors que nous nous souviendrons de Son corps rompu, en prenant ces petits éléments de la pâque; puisse Dieu asperger nos coeurs et nos consciences avec le Sang.
Maintenant ils vont apporter la communion, et nous lirons maintenant dans I Corinthiens, au chapitre 12. Nous allons prendre la communion immédiatement après ceci, et nous avons confiance que Dieu vous bénira abondamment. Puis, aussitôt que nous aurons lu ceci, ou juste avant que nous le lisions, si vous devez partir, eh bien, vous pouvez sortir tranquillement. Et soyez de nouveau parmi nous mercredi soir, dimanche matin et dimanche soir. Si vous pouvez rester pour prendre la communion avec nous, nous serons très heureux que vous le fassiez. Puis, tout de suite après, il y aura le Seigneur... il y aura le service de baptêmes, qui aura lieu, je pense, dans environ quinze minutes, ou vingt au maximum. I Corinthiens, chapitre 11, verset 23.
...j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain,
Et, après avoir rendu grâces, le rompit,...dit : Prenez, et mangez. Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi.
De même, et après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Ceci est la coupe de la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.
Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne.
C’est pourquoi celui qui ne mangera pas le...celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.
Que chacun donc s’examine soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe;
Car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même.
C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup de malades et d’infirmes,...qu’un grand nombre sont morts.
Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres.
Maintenant, un instant de prière silencieuse, pour chacun de nous, priez pour moi pendant que je prie pour vous. [Frère Branham fait une pause.–N.D.É.] Accorde ces requêtes, Dieu Tout-Puissant. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Nous demandons ceci au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Ces petits morceaux, c’est du pain kascher, qui a été préparé sans saindoux, sans assaisonnement ni rien, et ça représente le corps du Seigneur. Il n’est pas rond, on l’a rompu en morceaux. C’est parce que ça représente Son corps rompu, qui a été rompu pour nous. Que Dieu accorde Ses bénédictions à tous ceux qui le mangeront. Or, ce n’est pas le corps, ça ne fait que représenter le corps. Je n’ai pas le pouvoir, personne d’autre ne l’a, d’en faire autre chose que du pain. Dieu seul. Et c’est ce qu’Il nous a dit, de manger ce pain et de boire cette coupe de vin. Maintenant inclinons la tête.
Dieu très Saint, dont nous sommes les serviteurs, au Nom de Jésus-Christ, sanctifie ce pain pour le but qui lui est attaché, afin que, alors que nous le recevrons, nous nous souvenions que notre Seigneur a été crucifié; et que Son corps, précieux et saint comme il l’était, a été associé à des meurtrissures, des épines et des clous, pour nous, afin que de Son corps déchiré sorte l’Esprit qui nous donne la Vie Éternelle. Puissions-nous, Seigneur, alors que nous mangerons ceci, avoir la grâce pour le voyage, comme Israël l’a eue pendant quarante ans dans le désert, sans qu’il y ait un seul infirme parmi eux. Dieu notre Père, accorde-le, alors que nous Te prions de sanctifier ce pain, ce pain kascher, pour le but qui lui est attaché. Au Nom de Jésus. Amen.
La coupe de la Nouvelle Alliance, le Sang. Je pense à ce chant : “Depuis que, par la foi, j’ai vu ce ruisseau que Tes blessures ouvertes alimentent, l’amour rédempteur a été mon thème, et le sera jusqu’à ma mort.” Quand je vois ce sang, le raisin, le sang du raisin, je sais qu’il représente le Sang qui est sorti du corps du Seigneur Jésus. Puissent tous ceux qui recevront ceci avoir la Vie Éternelle, que la maladie quitte leur corps, que la lassitude et la faiblesse, l’oppression, que le diable sous toutes ses formes les quitte, pour qu’ils aient une grande force, la santé, et la Vie Éternelle, et qu’ainsi leur lumière brille devant cette génération méchante et adultère dans laquelle nous vivons, afin de glorifier Dieu.
Père Céleste, nous Te présentons le fruit de la vigne. Au Nom de Jésus-Christ, sanctifie-le, qu’il représente le Sang de Ton Fils, Jésus, C’est ce qui nous procure : “Blessé pour nos transgressions, par Ses meurtrissures nous avons été guéris.” Seigneur, fais que la Vie vienne à nous, la Vie Éternelle en grande abondance, afin que nous puissions mieux Te servir, en ayant la force et la santé nécessaires pour nous déplacer de lieu en lieu, vers l’endroit où nous comptons Te servir, là où Tu nous appelleras. Accorde ces bénédictions, au Nom de Jésus, nous T’en prions. Amen.