“Ô, Sauveur, que la terre attend
et dont nous rêvons depuis si longtemps!
Ô, aies miséricorde pour ton peuple assoiffé
Et donne-nous le royaume de la paix!”
Les soirs, alors que je revenais des réunions Branham à Helsinki et à Kuopio, je pensais constamment aux paroles de Saint Luc, “Nous avons vu aujourd’hui des choses étranges.” À la fin d’une réunion, Frère Lindsay a dit : “Ce soir, vous avez vu et entendu des choses que bien des rois et des prophètes auraient voulu voir, mais qui n’ont pas pu voir.” De réunion en réunion la foi augmentait, et si seulement nous avions pu continuer ce qui a été commencé...car tout est possible à celui qui croit!” Nous sommes à l’aube d’un âge nouveau.
Près de deux mille ans passés, il y avait un homme esseulé sur la terre. Aux yeux du monde, Il n’était que le fils d’un charpentier, qui a eu pitié de l’homme et a fait preuve de miséricorde envers les malades et les pécheurs. Tous ces pauvres gens qui étaient affligés par l’ennemi. Il avait un Évangile merveilleux à prêcher, qui parlait du Royaume des cieux que les gens de l’époque pouvaient trouver grâce à Lui. Aux pécheurs qui étaient opprimés par le diable, Il a offert le pardon des péchés. Quand ils se sont approchés de Lui, Il a accompli des œuvres puissantes dans la vie des aveugles, des sourds, des lépreux et des infirmes. Lui, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, a reçu une couronne d’épines des souverains sacrificateurs et du gouvernement, et une tunique de moqueries, de blessures, d’insultes, et, pour couronner le tout, la croix de bois rugueux, où on L’a cloué en guise de remerciement pour toutes Ses bonnes œuvres.
“Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.”
Ésaïe 53.4-5
Maintenant, près de 2000 ans plus tard, nous sommes soudainement ramenés aux jours de notre Sauveur et des apôtres! J’ai vu les infirmes laisser tomber leurs béquilles, les sourds entendre, les aveugles voir et les muets parler. J’ai pu leur parler, les toucher de mes mains et voir leur bonheur et leurs larmes de joie. C’était de merveilleux jours, et nous pouvons vivre dans la bénédiction du plein Évangile, en attendant qu’ils continuent par Sa grâce. Il est l’auteur et celui qui accomplit tout, et Il perfectionne notre foi. Que l’Éternel soit loué!
Quand j’ai vu les foules de centaines de malades, qui accouraient aux réunions, dans des fauteuils roulants et sur des civières, des gens qui faisaient pitié à voir, qu’on devait constamment aider. J’ai vu des gens souffrant de déficience mentale, possédés, et des victimes de multiples choses misérables; un espoir s’est allumé en moi, un espoir que tous les soucis de cette vie allaient disparaitre. La médecine n’a jamais été aussi avancée qu’elle ne l’est aujourd’hui, et il n’y a quand même jamais eu autant de malades qu’aujourd’hui. Le seul espoir pour cette humanité malade est la venue imminente du Seigneur Jésus-Christ et de la paix qui descendra sur terre. C’est alors que l’humanité, tourmentée et troublée par le diable pendant toutes ces années, pourra se reposer sous Ses ailes.
Vous, perdus, changez votre manière de penser et croyez l’Évangile afin de participer à ce grand jour qui vient bientôt! Que notre prière à tous, quand nous voyons l’état de ce monde, soit : “Viens, Seigneur Jésus, le seul espoir des nations! Viens et enlève la malédiction du péché de cette terre et apporte-nous le royaume de paix après lequel nous soupirons!”
Unto Kunnas