Que l’Éternel soit loué. J’aimerais raconter mon témoignage, à la suite de l’utilisation d’un tissu de prière. Le jour de la Fête de l’Action de grâce, j’ai commencé à avoir des douleurs au dos. Toute la journée et jusqu’en soirée, mon dos était de plus en plus douloureux. Vendredi matin, je me sentais beaucoup mieux.
Cet après-midi-là, j’ai trouvé des tissus de prière dans ma boîte postale et je les ai placés dans ma Bible, dans Actes 19. Samedi, je ressentais toujours de la douleur, alors j’ai épinglé le tissu sous ma chemise, près de mon cœur. La douleur persistait, et j’ai porté le tissu de prière dimanche soir, alors que j’allais au lit. Tout au long de la journée de lundi, la douleur s’intensifiait. Mardi matin, alors que je portais toujours le tissu de prière, ma femme et moi avons décidé de nous rendre à l’hôpital, mais alors que je reculais la voiture dans l’entrée, j’ai vomis et j’ai perdu connaissance. Mon épouse a essayé de trouver un pouls, en vain. Elle s’est précipitée dans la maison pour appeler le 9-1-1, en laissant la portière du côté passager ouverte. Une brise froide a soufflé dans la voiture et je suis revenu à moi.
Quand mon épouse m’a vu, assis et conscient, je lui ai dit que nous devrions immédiatement nous rendre à l’hôpital en voiture et annuler l’appel à l’ambulance. Mon épouse m’a conduit au Southview Hospital, où les employés m’ont promptement installé dans un fauteuil roulant et m’ont emmené à l’urgence. Un CAT scan complet a révélé un anévrisme aortique monstrueux. Alors qu’on me préparait, on a aussi contacté l’hôpital Grandview Hospital pour leur annoncer que j’arrivais pour une chirurgie d’urgence. Un anévrisme de 8 à 10 centimètres de diamètre avait causé une rupture de l’aorte. Il y avait trois unités de sang qui avaient éclaté et s’étaient répandu dans mon corps, où il n’était pas censé y avoir de sang. Il fallait que ce sang soit drainé.
Le médecin a dit que 75 % des gens à qui cela arrive ne se rendent même pas à l’hôpital. Après l’opération, le chirurgien a dit à mon épouse que je ne survivrais probablement pas, et que si je survivais, c’était 100 % certain que mes reins seraient affectés, à cause de la perte de sang et du produit de contraste. Il a aussi dit qu’il avait constaté quelque chose qu’il n’avait jamais vu auparavant; la rupture, due à l’anévrisme, se refermait et se scellait. Il a décidé de poser un stent sur l’anévrisme pour réparer la rupture. Mon épouse a appelé un autre frère, qui a immédiatement envoyé une demande de prière à Frère Joseph, via texto. Quatre jours plus tard, j’ai reçu mon congé de l’unité de soins intensifs de l’hôpital, sans aucune séquelle.
Le médecin qui a examiné mes reins m’a dit qu’ils n’avaient aucunement été affectés, et il m’a répété deux fois que j’étais un patient miracle. MERCI SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST.
Votre frère en Christ,
Carter Hall
Ohio