Bien qu’il s’agisse d’une Écriture toute simple, Frère Branham a tout de même utilisé Hébreux 13.8 (Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui, et éternellement.) comme fondement pour tout son ministère. Si nous sommes de véritables croyants, chaque jour, nous devrions nous attendre à être témoins des mêmes prodiges que ceux qu’a accomplis Jésus, il y a 2000 ans de cela.
Les gens ont toujours très hâte d’aller aux réunions du Branham Tabernacle. La journée de dimanche a commencé comme tous les dimanches depuis quelques temps : des centaines de visages souriants formaient une file à l’extérieur du Youth Center, près d’une heure avant l’ouverture des portes. Nous parlons de la Parole avec les gens qui font la file avec nous, et de temps en temps, un frère ou une sœur qui ne peut pas contenir son excitation commence une ronde d’applaudissements pour le Seigneur. Lorsque les portes ouvrent et que les gens commencent à prendre place, l’expectative grimpe d’un cran. Bien qu’il y ait assez de chaises pour tout le monde, c’est une petite bénédiction spéciale que d’arriver tôt et de fraterniser avec le petit groupe de l’Épouse de Christ, ici à Jeffersonville.
Nous entrons dans le sanctuaire au son de la voix de Frère Branham qui chante des cantiques de l’Évangile. Quand la plupart des gens prend place, c’est un enregistrement de douce musique jouée au piano qu’on entend par les haut-parleurs. Environ 15 minutes avant le début de la réunion, la pianiste et l’organiste prennent place et commencent à jouer des cantiques d’adoration. La plupart des membres de l’assemblée adore depuis près de 45 minutes, et l’expectative est à couper au couteau quand Frère Joseph et Frère Samuel s’avancent sur l’estrade. Nous sommes tous prêts à accueillir notre Seigneur Jésus au milieu de nous.
Il n’y a pas de réunion “normale” au Tabernacle. Nous ne savons pas ce que le Seigneur va accomplir, mais nous savons qu’Il a un bénédiction spéciale en réserve pour tous ceux qui sont présents. Dimanche matin dernier, Il a donné une expérience aux 800 personnes qui étaient présentes, et nous voulons en faire part au monde entier.
Pendant que nous chantions et que l’on récoltait l’offrande, il y a eu une petite perturbation du côté gauche de l’assemblée. Sœur Beth Campbell, infirmière de profession, a jeté un coup d’œil à sa gauche, et elle a remarqué qu’un frère âgé, du nom de James Jackson, était affaissé sur sa chaise depuis un bout de temps. En regardant plus attentivement, elle a compris qu’il s’agissait de quelque chose de très grave. Elle a immédiatement avisé un frère du nom d’Isaac Toy, qui était assis devant elle, et il a avisé un diacre, du nom de John Wahl, qui était tout près. Frère Matthew Golden (un médecin) et Frère Adam Evans (un auxiliaire médical d’expérience) se sont rapidement rendus à l’extrême gauche de l’assemblée. Les deux frères arboraient une expression grave alors qu’ils s’occupaient de Frère James. Le visage du frère était grisâtre, ses yeux étaient ouverts et fixaient le vide, sa bouche était ouverte, il y avait une tache de bave sur sa chemise, et son corps était flasque; l’homme était déjà mort depuis un bout de temps.
Les membres de l’assemblée sont restés très calmes, et ils fredonnaient un chant pendant que beaucoup de frères priaient pour Frère James. Nous savions qu’il n’y avait rien à craindre. Jésus-Christ avait promis qu’Il serait au milieu de nous si nous étions assemblés en Son Nom, et il n’y avait aucun doute que c’était le cas. Il était au milieu de nous.
Voici les témoignages de Frère Isaac Toy, de Frère Adam Evans, de Frère Matthew Golden et de Frère James Jackson :
Je m’appelle Adam Evans, et voici mon compte rendu des événements de dimanche matin, le 8 novembre 2015. J’ai été à l’emploi du Service de Sécurité Incendies pendant 13 ans, jusqu’à ce que je quitte mes fonctions pour travailler à La Voix de Dieu, en 2008. Pendant 10 de ces 13 années, j’étais un auxiliaire médical certifié, et j’ai été le capitaine d’une équipe de pompiers pendant près de 7 ans. Au cours de ces années, j’ai vu beaucoup de personnes malades, et, malheureusement, beaucoup de personne mortes ou mourantes. Aux États-Unis, les ambulanciers et les pompiers relèvent tous du Service de Sécurité Incendies. Les auxiliaires médicaux sont le personnel le mieux entraîné pour prodiguer des soins avant que le patient soit acheminé à l’hôpital. Seuls les ambulanciers et les pompiers expérimentés peuvent faire une demande d’admission à l’école des auxiliaires médicaux, et si leur demande d’admission est retenue, le processus d’apprentissage s’étend sur 14 mois d’entraînement intensif.
Dimanche matin, peu de temps après le début de la réunion, nous chantions des cantiques, et j’ai remarqué une perturbation du coin de l’œil. Quand je me suis retourné, j’ai vu un diacre qui me faisait signe qu’on avait besoin de mon aide. En voyant son expression, je savais qu’il s’agissait de quelque chose de grave.
J’ai vu qu’un de mes bons amis, le Docteur Matt Golden, se tenait derrière un frère âgé inconscient, à environ seulement 8 mètres de moi. Frère James était affaissé sur son siège, et Frère Matt tenait la tête du frère. Des frères étaient agenouillés et priaient tout autour de lui. Je me suis positionné face à Frère James, et j’ai vu que ses yeux fixaient le vide et ne réagissaient pas aux stimuli. Son corps était froid et moite. Je savais que ce n’était pas bon signe. Je me suis levé et j’ai regardé vers l’estrade. Frère Joseph se tenait derrière la chaire, mais il n’avait pas encore remarqué la perturbation. J’ai fait signe à un diacre d’aller chercher Frère Joseph, puis je me suis retourné vers Frère James pour essayer de l’aider.
Frère Matt avait placé ses mains autour de la tête et soutenait la mâchoire de Frère James, comme s’il essayait de garder la tête du frère en position pendant qu’il essayait de trouver un pouls. Il a dit qu’il devait garder les voies respiratoires du frère dégagées, et qu’il ne trouvait pas de pouls. J’ai à mon tour posé les doigts sur le cou de Frère James pour essayer de trouver un pouls. Je n’étais pas surpris de ne pas en être capable. J’ai cherché un pouls à nouveau, en tâtant le poignet cette fois. La quantité de salive sur sa chemise indiquait qu’il était dans cet état depuis déjà un bon moment. Lors d’un décès, les muscles se décontractent, et le corps ne peut plus retenir ses liquides, qui se mettent à couler. Les muscles du visage de Frère James étaient décontractés, ce qui expliquait la salive qui coulait sur sa chemise.
Frère James était toujours sur son siège. J’ai déboutonné sa chemise pour exposer sa poitrine. À ce point, j’étais absolument convaincu qu’il était mort, mais j’étais tout aussi convaincu qu’il ne resterait pas mort bien longtemps. Quelque chose me disait que je devais m’assurer qu’il n’avait véritablement pas de pouls ou de signes vitaux. Je savais qu’on allait me demander ce qu’il en était plus tard, et je voulais m’assurer que mon témoignage allait être juste. J’ai posé mes deux mains sur la poitrine nue de notre frère. J’essayais de sentir quelque mouvement que ce soit. À ce moment-là, bien de minutes s’étaient écoulées depuis le moment où les gens avaient remarqué qu’il y avait un problème. J’essayais de sentir un petit souffle, un battement de cœur, quelque signe vital que ce soit. Il était froid, pâle, moite et complètement immobile.
J’ai gardé les mains sur sa poitrine, pour essayer de sentir un mouvement quelconque, tout en pensant à ce que nous devrions faire. C’est à ce moment-là que j’ai senti la main de Frère Joseph en dessous de la mienne. Je savais que Frère Joseph et toute l’assemblée priaient, quand, tout à coup, j’ai senti la poitrine de Frère James se soulever presque imperceptiblement. Je ne savais pas si c’était mon imagination, alors j’ai rapproché mon visage du sien, et j’ai entendu une faible respiration.
Frère Matt tenait toujours la tête de Frère James bien droite, et il a parlé dans son oreille. Je lui ai dit : “Il respire.” Frère Matt m’a répondu : “Je sais.”
Je me suis de nouveau agenouillé devant Frère James, aux côtés de Frère Joseph. J’ai regardé Frère Joseph, et je lui ai dit qu’il respirait maintenant. On aurait dit que Frère Joseph regardait à travers moi, et il n’a rien dit. J’ai demandé à Frère Joseph s’il voulait que nous sortions Frère James. Frère Joseph m’a regardé pendant une seconde ou deux de plus, puis il a dit : “Oui, amenez-le à l’extérieur.”
Une fois à l’extérieur, j’ai demandé à Frère John Wahl d’appeler le 911 (les services d’urgence). Frère James commençait à reprendre conscience. Quand l’ambulance est arrivée, Frère James répondait déjà à des questions simples. Finalement, quand je lui ai demandé quel âge il avait, il a levé les mains et a répondu : “Loué soit l’Éternel!” Je savais qu’il allait être complètement rétabli.
Que Dieu vous bénisse,
Adam Evans
C’est un privilège pour moi de vous écrire aujourd’hui dans ces circonstances. Je ne trouve pas de mots pour exprimer ce que je ressens à la simple pensée d’être un membre de l’Épouse de Christ. J’aimerais raconter exactement ce qui s’est passé le dimanche matin, 8 novembre 2015 au YF Youth Center.
J’étais assis à l’avant, vers la gauche du bâtiment, dans la quatrième ou la cinquième rangée, à côté de Frère Isaac Toy et de sa famille. Frère James Jackson était assis dans la rangée juste derrière la nôtre, complètement à gauche. L’épouse de Frère Isaac a fait un geste pour attirer mon attention pendant que nous entamions le troisième chant du service. J’ai rapidement remarqué que notre frère était affaissé sur sa chaise. Je me suis précipité vers lui, et j’ai essayé de le réveiller. J’ai remarqué qu’il était froid et qu’il ne respirait pas. Il n’avait pas de pouls radial ni de pouls carotidien. Je n’étais pas capable de susciter une réaction quelconque de sa part.
J’ai dû faire face à ce genre de situation bien des fois à l’hôpital, et au meilleur de mes connaissances, il n’avait aucun signe vital. Je suis aussitôt allé me placer derrière lui pour relever sa tête et libérer ses voies respiratoires. J’ai massé sa trachée, mais il n’avait aucune réaction. J’ai placé la main sur sa carotide, et il n’avait pas de pouls. Frère Adam Evans était maintenant devant le frère pour nous prêter main forte. Nous avons déboutonné la chemise de Frère James pour vérifier s’il respirait. J’ai immédiatement pensé que cet homme avait besoin de réanimation cardio-pulmonaire, comme mon expérience me le dictait, ou d’un miracle.
Un grand nombre de frères s’était maintenant rassemblé autour de notre frère pour lui imposer les mains. Nous avons prié. Puis, j’ai remarqué que Frère Joseph avait posé sa main sous celle de Frère Adam, sur la poitrine de Frère James, à la hauteur de son cœur. C’est à ce moment-là que j’ai senti sa trachée bouger, comme s’il avalait, et ensuite il a inspiré. Il s’est ensuite mis à respirer, très doucement au début, mais au moins l’air circulait. J’ai gardé la main sur son cou, et j’ai senti revenir son pouls; faiblement pour commencer, mais les battements étaient de plus en plus forts. Nous avons porté le frère à l’extérieur du bâtiment par la porte de côté. J’ai continué à soutenir sa tête pendant que nous le portions à l’extérieur, à un endroit où l’ambulance pourrait le prendre.
Quand nous sommes arrivés à l’avant du bâtiment, il était déjà capable de lever la tête et de répondre à des questions en hochant la tête. Tranquillement, il s’est remis à parler. L’ambulance est arrivée au moment où il répondait à des questions. J’ai décidé de monter dans l’ambulance avec lui et d’essayer d’élucider ce qui s’était passé.
Quand nous sommes parvenus à l’hôpital, Frère James avait les mains dans les airs et il louait Dieu. Les ambulanciers avaient de la difficulté à examiner ses signes vitaux, car il gesticulait en louant Dieu. Dans la salle d’urgence, je suis resté avec lui pendant qu’il subissait tous les tests. J’ai observé que les résultats de l’ECG étaient normaux pour quelqu’un de son âge. Son activité crânienne était elle aussi normale. Toutes les analyses de ses prélèvements rendaient des résultats normaux. La seule chose qui était anormale était sa température corporelle de 34,4 degrés Celsius, confirmée à deux reprises. Cependant, quand j’ai quitté l’hôpital, elle était revenue à la normale.
Selon mon opinion professionnelle, notre frère était mort et maintenant il est vivant. Dans mon cœur, je crois que ce n’est rien d’autre que la main de Jésus-Christ, qui est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je déclare ceci et je le crois de tout mon être. Nous avons été témoins de Dieu au milieu de nous, encore une fois. Que Dieu vous bénisse, vous qui lisez ce témoignage. J’ai fait de mon mieux d’exprimer avec justesse les événements dont j’ai été témoin.
En Lui,
Dr. Matthew Golden
Certifié en chirurgie générale
Il est très probable que Frère James soit décédé bien avant le début de la réunion. Il était assis au bout de la rangée, contre le mur, alors on pouvait difficilement le remarquer. Frère Isaac Toy, assis dans la rangée devant celle de Frère James, avait entendu ce qu’il croyait être un petit ronflement pendant le moment de silence, avant le début de la réunion. C’est probablement à ce moment-là que le cœur de notre frère a cessé de battre. Après le début de la réunion, il est resté assis chaque fois que l’assemblée s’est levée, et on ne l’a remarqué que 25 minutes après le début du service. Son cœur a recommencé à battre environ 5 minutes après qu’il a été retrouvé inconscient.
Frère James dit n’avoir aucun souvenir de ce qui s’est produit. La dernière chose dont il se souvient, c’est d’être entré dans le sanctuaire, s’être assis, et d’avoir écouté Frère Branham chanter les cantiques de l’Évangile (qui cessent de jouer au moins 30 minutes avant le début de la réunion). On estime qu’il a perdu la vie de 15 à 60 minutes avant que quelqu’un ne vienne l’aider. À son arrivée à l’hôpital, ses signes vitaux étaient normaux pour un homme de son âge, excepté que sa température corporelle était de 34,4 degrés Celsius (environ 2 degrés de moins que la normale). Une température aussi basse pourrait indiquer qu’il avait été sans vie pendant 60 minutes, peut-être même plus.
Il y a deux milles ans, un groupe de gens ont été témoins de la résurrection de Lazare, appelé à sortir de la tombe par notre Seigneur Jésus. Il y a environ 50 ans, le 23 juin 1963, Jésus a de nouveau démontré Sa puissance devant une grande foule quand Frère Way est mort d’une sévère crise cardiaque pendant la réunion. Nous connaissons tous le témoignage. Puis, dimanche le 8 novembre 2015, 800 croyants de Jeffersonville se sont unis en prière et ont vu ce même Seigneur Jésus ressusciter Frère James Jackson.
Un frère à qui on a demandé de clore la réunion par un mot de prière a prié ainsi : “Seigneur, il n’y a rien à ajouter... Qu’as-Tu en réserve pour nous prochainement?”
Le conduire dans un certain lieu, faire une cérémonie en présence des Anges, le placer à sa position dans le corps de Christ. Ensuite cette personne a l’autorité. Permettez-moi de dire ceci, même si, à partir de ce soir, je serai peut-être à vos yeux un fanatique. La chose même dont je suis en train de parler se fera. Une puissance sera placée dans l’Église, et elle est en train de venir : le Saint-Esprit oindra tellement les gens qu’ils prononceront la Parole, et Elle Se créera aussitôt. Nous n’avons pas encore vu de puissances comme ce qui est maintenant en train d’être placé dans l’Église. Ça, j’en suis sûr.
“Dites à cette montagne : ‘Ôte-toi de là.’ Ne doutez pas dans votre cœur, mais croyez que ce que vous avez dit arrive, ce que vous avez dit vous sera accordé” — le placement de l’Église à Sa position, là où la plénitude du Saint-Esprit entre dans l’Église. Alors la bouche des critiques se fermera. Ce sera un court laps de temps. Dès que Jésus est descendu de la montagne, Il est allé directement au Calvaire. Remarquez, cela ne durera pas longtemps, mais cela arrivera.